Comédien·nes en chair et en os et marionnettes à taille humaine, une relecture piquante du mythe de Dracula
En adaptant au théâtre le roman de Bram Stoker dans une version révisée par l’écrivain islandais Valdimar Asmundsson, Yngvild Aspeli et son équipe de créateur.trice.s plongent dans ce sombre et immortel mythe en soulignant sa forte charge érotique. À travers l’interaction étroite des comédien·nes en chair et en os, et des marionnettes à taille humaine, ce spectacle inspiré du cinéma de Guy Maddin explore la nature humaine mais aussi les états limites, entre vie et mort, possession et liberté.
Cette relecture de la légende de Dracula est à la fois très physique et visuelle, peu bavarde et peu sanglante, mais subtile et suggestive. La version de la metteuse en scène norvégienne se veut sous le prisme des femmes et des victimes, redéfinissant une nouvelle perception du vampire.
Du grand théâtre visuel et de marionnettes aussi drôle et déjanté qu’effrayant et jubilatoire.
MARIONNETTES / RELECTURE DE MYTHE / PAROLES AUX VICTIMES
Mise en scène : Yngvild Aspeli Avec : Pascale Blaison, Dominique Cattani, Yejin Choi, Sebastian Moya, Marina Simonova Assistante à la mise en scène : Thylda Bares Composition musique : Ane Marthe Sørlien Holen Fabrication marionnettes : Yngvild Aspeli, Manon Dublanc, Pascale Blaison, Elise Nicod, Sebastien Puech Scénographie : Elisabeth Holager Lund Création Vidéo : David Lejard-Ruffet Costumes : Benjamin Moreau Régie lumière et plateau : Emilie Nguyen Régie son et vidéo : Baptiste Coin Dramaturge : Pauline Thimonnier Directrice de Production et Diffusion : Claire Costa Production : Plexus Polaire Coproduction : Puppentheater Halle (DE), Théâtre Dijon Bourgogne – CDN
Avec le soutien de la DRAC Bourgogne Franche Comté – Ministère de la Culture, la région Bourgogne Franche Comté, Kulturradet (NO), la Nef – Manufactures d’Utopies, Pantin, le CENTQUATRE Paris, le Théâtre des Quartiers d’Ivry – Centre Dramatique National du Val-de-Marne et le Théâtre aux Mains Nues, Paris.
En 2016, nous découvrions au 140 les punkettes-clowns ukrainiennes au 140 avec leur flamboyant Freak Cabaret. Deux semaines après le 24 février 2022, jour d’invasion russe en Ukraine, les Dakh Daughters et leur metteur en scène et Vlad Troitskyi décident de rejoindre la France, là où quelques amis peuvent les accueillir en compagnie de leurs enfants et de leurs mamans. Pères, parents plus éloignés restent, eux, en Ukraine. Du Freak Cabaret, concentré festif, ardent et féroce de femmes qui revendiquaient leur puissance et leur liberté, elles y puisent aujourd’hui une force de résistance, même si la belle énergie du départ s’est déplacée, brisée par la guerre.
Mais leur nécessité de dire le monde est toujours vivante et répond désormais à l’urgence de témoigner de la réalité par l’art.
Aux fronts de guerre il faut opposer le front de l’art. Elles adapteront ce spectacle aux réalités politiques, pratiquement un an après l’invasion russe.
Direction artistique : Vlad Troitskyi Avec : Nataliia Halanevych, Ruslana Khazipova, Solomiia Melnyk, Anna Nkitina, Nataliia Zozul
avec la participation de Tetyana Troistka, comédienne Lumières, mapping vidéo : Mariia Volkova Son : Mickael Kandelman et Bruno Ralle
Les Dakh Daughters remercient ces personnes qui ont mis à leur disposition les images utilisées dans ce spectacle :
Photographes : Maksym Donduyk et Oleksandr Glyadyelov Graphisme : Iryna Korchyuk, Andriy Yermolenko Vidéos : Hromadske.TV, station de télévision internet ukrainienne ; Telegram, réseau social répandu en Ukraine.
Production : Dakh Theatre, DdD
Diffusion en collaboration avec Blue Line Productions
Les Dakh Daughters remercient du soutien à leur pays en guerre et recommandent deux organisations :
En France : https://amc.ukr.fr/ Aide médicale et caritative France-Ukraine, créée en 2014
En Estonie: https://www.prorizne.org/ organisation non gouvernementale pour la cohésion sociétale en Europe, créé en 2002
À partir de textes d’auteur·rices d’ici et d’ailleurs, Rokia Bamba, artiste belgo-malienne et ivoirienne, DJ et activiste, convoque comédien·nes et musicien·nes sur le plateau du 140 qui lui donne carte blanche. Son envie est de nous amener à repenser le mot “Femme” à travers la création et la pensée artistiques. Il sera question de résistances et de solidarités. Cette performance inédite sera construite comme un dialogue entre le son et les mots qui se répondent.
La thématique centrale sera la femme flamboyante dans tout ce qui peut la définir, au présent, au passé et dans le futur. Le rendez-vous sera centré et porté par des questionnements féministes, afro-féministes, LGBT/Queer, écologiques, décoloniaux et post-coloniaux… Les véritables enjeux seraient d’offrir une existence d’alternatives spatiales, d’initier un renouveau humain… rendre visible nos savoir-faire et nos savoir-être.
L’ensemble sera un rendez-vous performatif en immersion totale.
Née dans cette culture dite de l’oralité, Rokia Bamba œuvre à la sauvegarde de cette tradition, source importante pour reconstituer, raconter, les identités culturelles. Ainsi, une exposition sonore sera présentée dans le foyer du théâtre entre janvier et juin.
Un projet de Rokia Bamba et du 140
Ce spectacle est accessible aux personnes malentendes.
Un projet de Rokia Bamba
Comédien·nes : Julie Lombé, Cécilia Kankonda, Farah Youssouf, Marie Paule Mugeni
Musicien·nes : Nicole Letuppe, Sarah Carlier
DJ et créatrice sonore : Rokia Bamba
À travers des poèmes et quelques textes en prose issus de ses différents ouvrages, Cyril Dion, écrivain, réalisateur, figure du mouvement écologiste et co-réalisateur du film « Demain » nous offre une expérience poétique portée par la musique de Sébastien Hoog, guitariste, compositeur et interprète.
« Face à la perspective d’un effondrement écologique, plongé dans le bouillonnement numérique, happé par le tourbillon des informations, confronté à la violence, aux inégalités, nous avons besoin de la poésie, de la beauté, de la musique. »
Après 33 pays visités et plus de 1000 chansons d’amour récoltées, la compagnie Action Hero aura baladé son camping-car à Bruxelles durant cinq jours. Le 1er octobre à La Tour à Plomb et le 2 octobre au 140, quatre heures durant la compagnie animera une émission de radio live où nous pourrons découvrir le volet Bruxelles de ce tour d’Europe.
Entre l’heure de début à la Tour à Plomb et l’heure de fin au 140, soit durant 24h, il sera également possible d’écouter l’intégralité de leur sonothèque sur Facebook.
Sur la scène du 140, nous vous invitons à rejoindre notre « espace d’écoute profonde ».
De et avec : Gemma Paintin & James Stenhouse Dramaturge: David Williams Design sonore : Jo Palmer Administration: Sarah Warden Coproduction : Farnham Maltings, Transform, Matchbox et Farnham Maltings Soutien : British Council, European Cultural Foundation and Watershed’s Pervasive Media Studio
Développé grâce au support de Vooruit, Latitudes Contemporaines, ANTI, Ördögkatlan Festival, Interdisciplinarte, Romanian Association for the Performing Arts, Grand Theatre Groningen and Bristol Old Vic Ferment.
Avec les fonds de Arts Council England.
Trois danseurs·x contemporains·x, Ordinateur, star du coupé-décalé ivoirien, Alex Mugler, vedette new-yorkaise du voguing et Carlos Gabriel Martinez, spécialiste des danses urbaines mexicaines, partagent la scène du 140.
Trio (for the beauty of it), c’est la rencontre de trois artistes.x réunis.x par la metteuse en scène berlinoise Monika Gintersdorfer. Figures incontestées des communautés dont ils.x sont issus.x et danseurs.x exceptionnels.x, Ordinateur, star du coupé-décalé, Alex Mugler, vedette du voguing et Carlos Gabriel Martinez, spécialiste des danses urbaines mexicaines, partagent sur scène leurs arts au-delà de leurs continents et cultures d’origine. Chaque interprète maîtrise l’histoire et les codes de sa danse tout en participant à son expansion transnationale et son évolution, fruit d’influences nouvelles. Alors que ces styles pourraient s’opposer, se confronter, ici ils s’échangent et s’hybrident avec talent. Les limites entre les continents, les disciplines artistiques et les genres s’effacent pour se mélanger.
Pour autant, nul idéalisme : ce qui rapproche est aussi ce qui sépare, et le dialogue entre des cultures aux contextes fort différents n’a rien de spontané. Ce spectacle prône les différences et spécificités des trois styles mais aussi leurs points communs. Véritables outils d’expression, de communication et d’affirmation identitaire, ces danses sont toutes issues de mouvements contestataires.
La rencontre de Trio entend résister à toutes les tentations d’isolationnisme, en lui opposant l’inventivité́ et le partage. Tel un explorateur, le spectateur voyage entre ces différents mondes qui se découvrent et s’apprivoisent, s’unissant au fil du spectacle. Une performance à l’énergie généreuse et communicative portée par la mixité des musiques et des danses.
Lié au spectacle :
Workshop de danse « Coupé-décalé » avec Ordinateur.
Samedi 22 octobre 14h-16h – Tous niveaux – Gratuit – Au 140
Conception : La fleur, Monika Gintersdorfer, Carlos Martinez, Alex Mugler, Ordinateur Avec : Carlos Martinez, Alex Mugler, Ordinateur et Timor Litzenberger Musique : Timor Litzenberger Costumes : Bobwear et Arturo Lugo Production : La Fleur Coproduction : Théâtre Vidy-Lausanne, Zürcher Theaterspektakel, Pumpenhaus Münster, Kampnagel Hamburg Avec le soutien de : NPN Nationales, Performance Netz
Eva Doumbia nous invite à réfléchir à ce qui se trouve dans nos assiettes. Elle mène cette réflexion sous le prisme de la décolonisation et des dominations.
Vidéo, théâtre, musique seront au rendez-vous avant de déguster ensemble, un mafé.
« Dans les années 1980, mon père, Amadou Doumbia, a ouvert le premier restaurant africain du Havre, où il vivait. Il proposait du mafé. Nous en mangions rarement dans la maison qui était tenue par ma mère, une institutrice normande. Chez nous, les repas africains étaient servis lors de visites d’amis ivoiriens. Je me souviens encore de plats posés au centre où tout le monde plongeait ses mains. Sauf nous, enfants français qui mangions avec des cuillères. J’ai longtemps pensé que ce plat à base de poulet et de pâte d’arachide était un plat traditionnel d’Afrique de l’Ouest. Mais en fait pas du tout. Ce plat national malien n’est consommé que depuis le XVIIIème siècle, probablement arrivé avec les habitudes culinaires des colons européens. Je me suis alors demandé d’où provenait la plupart des aliments que nous consommions aujourd’hui en Afrique : banane, riz, chocolat, ananas, mangue… J’ai réalisé qu’aucun d’entre eux ne poussait sous le Sahara. Ce ne sont pas des cultures endogènes. »
Textes : Armand Gauz et Eva Doumbia Mise en scène : Eva Doumbia Avec : Alexandre Bella Ola, Bamoussa Diomande, Eva Doumbia, Olga Mouak,
Angelica-Kiyomi Tisseyre
Et la la participation de Fargass Assandé Assistanat à la mise en scène et dramaturgie : Karima El Kharraze Musique originale et chants : Lionel Elian Cuisine : Alexandre Bella Ola (le Bistrot Afropéen) Chorégraphie : Massidi Adiatou Costumes et univers visuel : Sylvain Wavrant Création lumières : Stéphane Babi Aubert Régie Générale : Loïc Jouanjan Vidéo : Sandrine Reisdorffer Images : Charles Ouitin et Lionel Elian Son :Cédric Moglia Collaboration artistique : Fabien Aïssa Busetta Production : La Part du Pauvre/Nana Triban Coproduction : Théâtre du Nord, CDN Lille-Tourcoing-Hauts de France, Théâtre du Point du jour (Lyon) Avec le soutien de Drac Normandie, ville d’Elbeuf, les Grandes Tables (Friche la Belle de Mai – Marseille) – Fonds d’Insertion pour Jeunes Artistes Dramatiques, Consulat de France à la Nouvelle Orléans, LSU (département Francophonie à Bâton Rouge, États-Unis), Ambassade de France aux États-Unis, Commission Internationale du Théâtre Francophone, FACE fondation, Théâtre de la Joliette (Marseille) Avec l’aide de Anis Gras-Le Lieu de l’autre (Arcueil), Fundamental Monodrama Festival (Luxembourg), Kumaso (Bamako), N’Soleh (Abidjan), Centre Social de la Savine (Marseille), Ateliers Médicis (Clichy-Montfermeil), Beauport-Guadeloupe, la Chapelle du Verbe incarné (Avignon) et l’Entrepôt (Paris)
Véritable mosaïque multiculturelle, Bruxelles abrite une riche diversité de personnes et avec elles, de vies, d’expériences et d’histoires. Qu’elles soient tristes ou joyeuses, belles ou tragiques, vraies ou imaginaires, les histoires se façonnent par les rencontres et les expériences quotidiennes. Brussels City of Stories croit en le pouvoir des histoires, à leur capacité de connecter entre eux les lieux et les gens quels que soient les milieux, âges, langues et cultures.
Initié par MuntPunt, Passa Porta, La foire du Livre et Le 140, Brussels City of Stories est né d’une envie commune de ré-enchanter l’espace public de manière poétique et sociale et d’y
encourager le vivre ensemble. Estampillé City of Stories depuis déjà deux éditions, le projet se veut inclusif, multilingue et accessible aux publics francophone, néerlandophone et international. Ajustant les thématiques au fil des années, Brussels City of Stories vise à rassembler et partager des valeurs et des oeuvres de citoyen·ne·s et d’associations actives dans le milieu socioculturel afin de démocratiser la culture et valoriser la richesse culturelle de Bruxelles. Dans le cadre de l’édition 2022, Le140 a organisé des ateliers d’écriture avec l’écrivaine Isabelle Wéry en partenariat avec le CPAS de Schaerbeek. D’autres associations telles que La Maison des Femmes de Schaerbeek, la Bibliothèque Sésame, La Piola Libri et l’asbl Lire et écrire ont participé à la récolte d’histoires.
Pendant le mois de mars, Schaerbeek va vivre au rythme de la deuxième édition du S.A.M.E. Festival! Ces deux Semaines d’Actions et de Mobilisations pour l’Egalité (S.A.M.E.) visent à établir un rendez-vous annuel sur le territoire schaerbeekois. Celui-ci mettra en avant les actions de terrain luttant contre les discriminations autour de quatre grands axes : celles basées sur le genre, le racisme et la xénophobie, l’homophobie et la transphobie, ainsi que sur un handicap.
Réservation obligatoire via , merci de vous présenter au moins 30 minutes avant le début de la rencontre.
La 6e Nuit des Écrivains : les inscriptions sont ouvertes !
Se laisser guider – ou égarer – dans la nuit par les voix de six écrivain·e·s ?
C’est à cette expérience singulière que vous convient à nouveau Myriam Leroy et Pascal Claude lors de la 6e édition de La Nuit des Écrivains, le jeudi 10 novembre 2022 dès 21h. Les inscriptions sont ouvertes !Pendant quatre heures, six écrivain·e·s invité·e·s échangent et s’interpellent en public au 140 à Bruxelles et en direct sur La Première, avec la précieuse collaboration de Passa Porta :
L’épatante Clara Ysé, jeune romancière, mais aussi chanteuse. Son premier livre, Mise à feu, est paru l’an dernier chez Grasset. Un roman d’initiation et d’aventure, magique et cruel. Deux ans plus tôt, elle a sorti son premier disque, Le Monde s’est dédoublé, qui a été nominé par l’Académie Charles-Cros.
David Van Reybrouck, archéologue et philosophe de formation, historien de la culture à la KUL, se lance dans une carrière d’écrivain en 2007 avec son premier roman, Slagschaduw. Il est notamment récompensé par le Prix Médicis en 2010 pour Congo. Une histoire. En 2013, il propose une démocratie par tirage au sort dans Contre les élections. En cette rentrée, il publie Revolusi (Actes Sud), une étude historique consacrée à l’Indonésie.
L’écrivaine et journaliste Laure Adler qui clame : « je suis vieille et je vous emmerde ! ». Son dernier livre, La voyageuse de nuit (Grasset), est une enquête sur la vieillesse. Profondément engagée pour la cause des femmes, elle a consacré des ouvrages à plusieurs femmes brillantes et puissantes, dont Marguerite Duras, Hannah Arendt et Simone Veil.
Diplômée en journalisme et communication de l’ULB, la montoise Ariane Le Fort se démarque en 2003 avec la parution de Beau-fils, qui reçoit le Prix Victor-Rossel. Le sentiment amoureux fait vibrer le cœur de ses différents romans. Son dernier ouvrage, Quand les gens dorment, est sorti en mars 2022 (OnLit).
Patrick Chamoiseau qui estime que la littérature est une « énigme indépassable ». Il a reçu le Goncourt en 1992 pour son roman Texaco (Gallimard), où il dépeint la vie de Martiniquais sur trois générations. Théoricien de la créolité, il a participé à la création du Manifeste de la créolité. C’est une voix qui compte en francophonie et à l’échelle mondiale
.Et Emmanuelle Bayamack-Tam pour qui le roman est un genre transgenre ! Elle a obtenu le Prix du Livre Inter en 2019 pour Arcadie, un roman dans lequel souffle un vent libertaire et libertin.. Elle vient de publier La Treizième heure (P.O.L.). Elle écrit également sous le pseudonyme de Rebecca Lighieri, dont le roman Il est des Hommes qui se perdront toujours.«
Ces auteur·ice·s nous aident à mettre des mots sur les grands sujets qui font battre le cœur de notre époque et de nos vies.
La Nuit des écrivains, le jeudi 10 novembre de 21h à 1h du matin, en direct sur La Première et au 140 à Bruxelles, avec Passa Porta.
Après une mémorable première soirée en septembre 2022, Le Monde est un Village propose la seconde édition de Trésors Vivants. Ce concert pas comme les autres mettra à l’honneur des collaborations inédites entre des artistes confirmés et de jeunes talents prometteurs qui vivent et s’expriment en Belgique. Rejoignez-nous le vendredi 28 avril au Théâtre Le 140 à Bruxelles dès 20h !
« Forte de son succès et de son intérêt lors de la première édition de Trésors Vivants en septembre dernier, l’émission Le Monde est un Village propose un nouveau développement musical et original en cette fin avril. Trésors Vivants, c’est la rencontre entre des Musiciens porteurs de Tradition, Culture et Patrimoine et des Artistes de la nouvelle génération. Nous éclairerons le riche parcours, l’intense talent des uns et la gourmandise, la curiosité, la disponibilité artistique des autres. Cette soirée-concert unique et insolite sera une promesse de rencontres, de connivences, d’amitié et de passion. Un double coup de projecteur sur des individus ou des collectifs qui gagnent à être revus et de nouvelles pépites qui méritent d’être exposées. Bienvenue ! »
Partenaires : RTBF La Première et Le 140 Avec l’indispensable collaboration de la Fédération des Jeunesses Musicales de la Fédération Wallonie-Bruxelles, du 140 et de Canopea
Avec : Aurelie Dorzee – Luc Pilartz – Didier Laloy – Rachel Keyaerts – Nils Laloy – Mousta Largo – Jamal Moussaid – Sølstice – Quentin Dujardin – Kristo – Emanuela Lodato – Vincent Noiret – Juliette Ferreira – Jonathan De Neck – jofroi – Marie Mawet – Laïla Amezian – Quatuor Satellite Cléo Dehan – Margot Gillet – Coline Meulemans – Marc Martín Nogueroles – Quatuor Mp4 – Osvaldo Hernandéz-Napoles – Patricia Van Cauwenberge – Babela Navarro – Sophie Cavez – Baltazar Montanaro – Mathilde Dedeurwaerdere – Abid Bahri – Mohamed-Amine El Korchi – Sabra El Bahri Khatri – Ahmed Khaili – Marc Lelangue – Jonathan Collin-Bouhon – Gaspar Baré
Durée de la résidence : 5 jours, du lundi au vendredi en journée.
Accessible à tou.te.s (principalement schaerbeekois.e.s) / Gratuit
Citoyen.ne.s, amateur.rice.s ou passionné.e.s de culture et de création, devenez hôte !
Dans votre maison, un espace inédit (une salle de jeux, une cage d’escalier, un grenier aménagé, une bibliothèque, une cabane, une serre ou une maison arrière, etc. ) attend un.e artiste prêt à s’en inspirer pour créer. Nous vous proposons de l’accueillir chez vous pendant cinq jours. L’occasion de faire des rencontres et de rendre service à un.e chorégraphe désireux.se de travailler dans un lieu de vie, plus inspirant que le studio ou le théâtre.
La résidence artistique chez l’habitant.e réfléchit aux conditions de l’émergence des idées artistiques en favorisant le vivant et la rencontre à la source de toute recherche scénique. » Sabina, créatrice du projet
L’objectif de ce projet est de créer des liens, du dialogue et de l’entraide. En accueillant l’artiste, vous deviendrez acteur.rice du projet en cours de création chez vous. L’aménagement de votre espace de vie, un objet, une conversation, une odeur,… seront susceptibles de nourrir l’imagination de votre invité.e.
Sortie de résidence
Afin de partager l’expérience avec vos proches et d’alimenter le processus de création, l’artiste présentera une étape de son travail à vos ami.e.s, voisin.e.s et famille à la fin de son séjour chez vous.
Envie de tenter cette expérience ?
Pas besoin de beaucoup d’espace ni de matériel technique pour accueillir un.e artiste. Votre espace doit être accessible pendant 5 jours, du lundi au vendredi, en journée.
>>> Ouvert à tou.te.s. L’accueil n’est pas rémunéré. Avant la résidence, nous vous transmettons une présentation de l’artiste/la compagnie ainsi que du projet en cours de création que vous accueillerez.
At home / Création en cours / Accueil / Résidence de création et d’expérimentation
Les artistes/ les compagnies : à venir Hôte : vous Photographe : Merel Claes – « Creatures at rest » par Alice Van Der Wielen-Honinck Graphisme : Aleksandra Czępińsk
Depuis cinq ans, nous vous faisons découvrir trois instantanés dansés. Cette année, Le 140 et Grand Studio s’associent !
Artistes 2022 :
Solal Mariotte
Benoît Nieto Duran
Maxime Cozic
Le principe reste identique, la pièce ne peut excéder vingt minutes, les accessoires et décors ne sont permis que s’ils entrent dans une valise et le spectacle ne peut faire recours à plus de trois intervenants.
Quelques mots sur les performeur.euse.s
Benoît Nieto Duran
Danseur / Performer / Chorégraphe
Né à Liège, Belgique en 1990 et est actuellement établi à Liège.
Intègre en 2006 le Groupe « OPB » avec lequel il représente la Belgique à travers le monde pour des compétitions ( Battle ). Après avoir remporté de nombreux titres en groupe et en solo, tel que l’Award du « Meilleur Breakdancer de l’année 2011 » , il décide de se tourner vers la création pour plus de liberté en terme de mouvements.
Benoît a travaillé avec de nombreux artistes et compagnies professionnelles à savoir ; Cie Okus Lab, Opera Royal de Wallonie, Luc Petit création, Franco Dragon, Cie Victor B, HipOrgue, Didier Bouillon et actuellement pour Koen Depreter dans « Tender Men » : pièce contemporaine pour quatre interprètes internationaux ainsi que pour Julien Carlier « Dress Code » pièce pour six danseurs en Bboying.
Formé en break Dance dés son plus jeune âge, il s’intéresse très vite à la danse contemporaine qui l’amène à développer un langage personnel et atypique, nourri par sa connaissance des différents techniques de danse. Il a notamment développé une bonne mémoire chorégraphique et une grande faculté d’improvisation.
Il aime jongler avec les énergies et les dynamiques et à une affinité particulière pour la précision du mouvement et la musicalité.
La pièce / Protéiforme
Est-ce le bon choix ? Ce mouvement est il le bon ? Qu’est ce qui est beau ? Qu’est ce qui est laid ? Et si la laideur n’était pas l’envers de la beauté, mais une catégorie de la beauté ? Est-ce que le beau est une finalité dans l’Art ?
Protéiforme à pour ambition de faire remarquer que l’expression de la laideur est d’avantage liée à l’individualité, tandis que la beauté serait par essence même la quête d’un idéal… Presque Inhumain.
J’ai l’intention de m’intéresser à la laideur sous différents aspects pour mieux comprendre et vivre une expérience esthétique dansée.
Je compte déconstruire la gestuelle du break-dance extrêmement codifiée. Le mouvement brut comme point de départ pour créer un langage chorégraphique unique. La quête d’un idéal.
Benoît Nieto Duran
Solal Mariotte
Solal Mariotte (né en France en 2001) découvre la danse par le biais du Hip-Hop.
Il étudie au Conservatoire d’Annecy puis poursuit sa formation à P.A.R.T.S, il en sort diplômé en juin 2022.
Il danse dans la pièce « Any attempt will end in crushed bodies and shattered bones » de Jan Martens avant de rejoindre en 2023 la compagnie Rosas de Anne Teresa De Keersmaeker.
Solal est un jeune chorégraphe. Le jeu, l’improvisation, l’échange pluridisciplinaire et une expression plurielle de soi sont des dimensions qu’il souhaite continuer à explorer aujourd’hui. Il aimerait s’ouvrir à un autre rapport au temps, à un imaginaire plus large, à la poésie.
Maxime Cozic
» Emprise, c’est le thème choisi par Maxime Cozic pour son premier solo. Datant de 2020, la création joue sur un rapport au corps contenu, exigu, empêtré dans des danses au sol empêchant le corps de se déployer. Un travail de maîtrise colossal, marqué par la souplesse du chorégraphe. Emprise ou la danse d’un corps en surtension.
Quand Maxime Cozic arrive sur scène, dans un univers gris, noir et bleu foncé, on se demande à quoi s’attendre. L’artiste semble bloqué dans un espace lumineux en carré. La lumière ne lui fait pas le cadeau de l’éclairer. Statique, il est dans l’ombre. Pour être mieux vu, il doit relever la tête. Et puis, ça commence. À partir de là, le danseur expose la couleur : la chorégraphie sera celle d’une lutte. Sa gestuelle si saccadée peut tendre à dessiner les démons qui composent l’Emprise. On est impressionné par l’extrême souplesse de Maxime Cozic, qu’il met au service de mouvements raides et secs.
Emprise est une danse en tension, en torsion, où poignets et coudes se tordent. Le spectacle est présenté comme une exploration « des gestes qui échappent d’abord au contrôle, qui pourraient trahir par exemple un complexe, et qu’il s’agit tout autant de contenir, de ramener dans la maîtrise d’une modulation des tensions » (dossier de presse). En effet, il est clair que le corps n’a pas d’échappatoire, qu’il est surcontrôlé dans un espace où rien ne doit dépasser. L’espace en carré qui ouvrait le spectacle annonce l’idée de limites. Le danseur est en maîtrise permanente de ses gestes, dont il refoule les libertés. Il y a une impression constante de délimitation. Ainsi, même si la chorégraphie se déploie au cours du spectacle sur toute la scène, ce carré central marque souvent un point d’ancrage vers lequel le danseur revient.
Seul en scène, Maxime Cozic prend toute notre attention et nous entraîne dans ce qu’il raconte.Un univers hip hop qui fonctionneParfois, le danseur ressemble à un objet articulé, comme un robot dans une boîte. Dans Emprise, Maxime Cozy explore les gestes d’un corps à l’aspect mécanique voire électronique grâce à certaines tonalités digitales.
La chorégraphie fonctionne avec l’univers musical hip hop et moderne créé par Jimmy Febvay. Cet accompagnement apporte un rythme soutenu à un spectacle sans mouvements lents.
Du hip hop, l’artiste reprend de nombreux mouvements au sol, qui semblent davantage canaliser le corps dans l’espace. Parallèlement à cette musique, le souffle du chorégraphe est perceptible et accentue un sentiment de dureté imposée. La fatigue de la lutte corporelle comme de la fatigue émotionnelle. «
Un tromboniste, arrangeur, compositeur, et plus encore. Une chanteuse, comédienne, et voilà! Des chansons, des musiques et des histoires à raconter. Ils nous proposent de vivre un siècle de tubes en tous genres !
Le temps file en musique et voilà que l’on se découvre des madeleines de Proust intemporelles et presque universelles.
Des chansons. À la carte, en souplesse et en finesse. Un sourire par-ci, des “shake ton body” par-là : de la musique en veux-tu ? En Voilà !
Une chorégraphie à six danseur·euses qui se déroule au sein du public, assis, debout. La danse parmi nous, comme un motif qui, se répétant, évolue et glisse en nous frôlant. Une expérience immersive dans un geste chorégraphique qui va se construisant, minimaliste, joyeux et bienveillant.
Inspiré par la diversité des comportements collectifs que l’on retrouve à profusion dans le vivant, A Very Eye est une pièce qui nous invite à changer de perspectives et à éclairer les interstices.
Le public et les six danseur·euses se croisent, se mélangent et se confondent, pour tracer ensemble les lignes mouvantes d’un territoire à habiter.
concept et chorégraphie: Angela Rabaglio et Micaël Florentz / création et interprétation: Tsharly Prince, (Sergi Parés), Jeanne Colin, Mona Felah, Christine Daigle, Angela Rabaglio, Micaël Florentz / création lumière et scénographie: Arnaud Gerniers / création sonore: Anne Lepère / regards extérieurs: Melissa Rondeau, Esse Vanderbruggen, Christine Daigle / costumes: Mélanie Duchanoy / recherche: TingAn Ying (danse), Olivier Hespel (dramaturgie) / stage: Dounia Dolbec, Nathan Bourdon / administration: Camille Collard / diffusion et communication: Quentin Legrand (Rue Branly)
production: Tumbleweed asbl coproduction: Charleroi Danse – Centre
chorégraphique de Wallonie-Bruxelles (BE) / Les Brigittines – Playhouse for Movement Bruxelles (BE) / CCN2 – Centre Chorégraphique National de Grenoble (FR) / CCNT – Centre Chorégraphique National de Tours (FR) / POLE-SUD – Centre de Développement Chorégraphique National Strasbourg (FR) / Cultuurcentrum Brugge (BE)
partenaires de résidence: Dansateliers Rotterdam (NL) / Grand Studio (BE) / Summerstudios Parts (BE) / Garage29 (B), Tanzhaus Zuerich (CH), Choreographisches Centrum Heidelberg (DE), Le Gymnase – Centre de développement chorégraphique national Roubaix (FR), Kanal workroom (BE), de Warande (BE), TROIS C-L (LU), Materiais Diversos (PT), Estúdios Victor Córdon (PT), l’Abri Genève (CH), Onassis Stegi (GR)
soutien: Fédération Wallonie-Bruxelles, Wallonie- Bruxelles Internationale, Dansateliers Rotterdam (NL), avec le soutien du Grand Studio et Réseau Grand Luxe 2021/22
Déméter est désespérée par la disparition de sa fille Perséphone, enlevée par Hadès, dieu des enfers. Au cours de ses recherches, elle est accueillie par Baubo, personnage burlesque et truculent: Baubo entame une danse comique qu’elle ponctue en dévoilant son sexe, si bien que Déméter est toute réconfortée.
Grâce à sa mère, qui a repris courage et intervient auprès de Zeus, son père, Perséphone recouvre la liberté, mais sous condition. Elle passera quatre mois sous terre avec Hadès, huit mois sur terre avec sa mère. Par cette existence alternée, Perséphone installe le rythme des saisons sur la terre cultivée par les humain·es. Quand Déméter est heureuse avec sa fille, la nature est vivante et fleurie. Quand Perséphone retourne chez Hadès, le désespoir de Déméter engendre l’hiver.
Ce mythe nous inspire le récit du spectacle. Dans un futur peut- être extrêmement proche, la terre sera épuisée. Mais une vieille femme communique avec notre planète. Elle est comme une intermédiaire qui pourrait nous aider à trouver un chemin et surmonter nos difficultés.
marionnette
Marionnette
10’ de spectacle par groupes de 10 personnes
16+
Tarifs
Gratuit.
Réservation sur place.
Une Tribu Collectif nous donne à voir une courte étape de travail de son futur spectacle.
création: Une Tribu Collectif / conception et écriture: Noémie Vincart et Michel Villée / interprétation: Michel Villée et Noémie Vincart / construction de la marionnette: Natacha Belova. Merci à la Compagnie Point Zéro pour le prêt de la marionnette / lumière: Caspar Langhoff / scénographie: Noémie Vincart, Caspar Langhoff et Michel Villée / composition musicale: Alice Hebborn / regard extérieur: Julie Antoine
production: Une Tribu Collectif / suivi de production: Christine Cloarec – Quai 41 / soutien: Fédération Wallonie-Bruxelles – service du Théâtre / le 140.
Breudd est un duo électronique belgo-suisse. Obsédés par les atmosphères cinématographiques fortes, ils pratiquent un style musical composé de beats implacables et hypnotiques, d’arpèges à la volée et de mélodies entêtantes qui collent bien longtemps après l’aube.
Demandez-leur comment la musique doit être écoutée, et ils vous diront: de nuit, les yeux fermés, en tapant du pied. Demandez- leur comment la musique doit être faite, et ils vous diront que c’est une bataille d’esprits, en frères bagarreurs. Si Mr Flash et Sébastien Tellier avaient eu un enfant, ce serait Breudd.
musiciens: Maxime Schwarz, Rodolphe Aeberhard / chanteur.euse: Charlotte Wacker, Satchel Hart / scénographie: Louise Gouwy Bacquet / création lumière: Lucas Trovato / ingénieur son: Igor Van de Putte
aides et soutien: Îles ASBL / Les Ateliers du Fort
Du pop-rock, pour les enfants dès 6 ans ?! Iels en redemandent !
Lio, Brice, Dan et César (membres de Girls in Hawaii, Hallo Kosmo et Italian Boyfriend) s’amusent à explorer leur constellation musicale, des Beatles à The Strokes, en passant par Air ou encore Françoise Hardy, sans oublier quelques-unes de leurs compositions personnelles. Il n’est jamais trop tôt pour se déhancher sur un bon vieux Clash, jamais trop tard pour replonger dans les Beatles. Et entre les deux, s’offrir les Strokes, Françoise Hardy ou Air.
Comète, c’est la formation de musiciens pop rock habitués des grandes scènes, venue pour partager avec les plus petits leur galaxie personnelle. Compos et reprises se mêlent pour se prendre du bon son dans les oreilles, chanter, danser, et vivre un vrai concert rock !
Francofaune vient faire vibrer les murs du 140 ! Le temps d’une soirée, avec 4 performances, nous allons célébrer la scène francophone, électronique et cabaret. L’occasion de taper du pied et de découvrir de nouvelles « espèces musicales en voie d’apparition ».
Musique électronique / Scène francophone / Cabaret
Sorcière du folklore, actrice de telenovelas, déesse sud-américaine, chanteuse populaire brésilienne… ce ne sont que quelques-unes des casquettes de cette étrange créature qu’est Vakah Profana. L’écouter c’est se retrouver une chaude nuit sur une plage à Rio. Après avoir pris de l’ayahuasca.
ZEDIE
Originaire de Bruxelles, Zedie est un artiste queer belgo-nigérian dont le style musical fusionne entre variété française, électro et pop pour créer un univers dansant, sensible et unique. Dans ses textes, il interroge l’identité, raconte la mélancolie, l’amour et le deuil d’une voix cristalline faisant chavirer les âmes tendres.
CUISSE
Cuisse est un duo français créé par Initials et Barkën en 2021. Leur univers esthétique et musical singulier oscille entre furie et mélancolie. Cuisse cultive l’étrange.
PEGGY LEE COOPER
Si elle n’avait pas autant abusé de la vodka et des cigares, elle chanterait peut- être comme Céline Dion, mais ce n’est pas le cas. Á côté d’elle, Darth Vader est une pub pour Ricola. Une soprano légère. Peggy Lee Cooper est l’image de sa voix: grave, graveleuse, ronronnante ou hurlante et rarement à sa place.
Spectacle solo de cirque contemporain Delusional “I killed a man” est un spectacle sur la transition et la transformation. La jeune artiste et activiste trans Diana Salles partage ici le parcours d’une renaissance à soi, dans la peau de Judith, la protagoniste du célèbre tableau de Caravage Judith décapitant Holopherne.
Ivo Dimchev
Chorégraphe, danseur, plasticien, performeur, musicien, comédien, poète, auteur : Ivo Dimchev, c’est l’artiste pluriel. Il donne à vivre des œuvres déroutantes, furieuses. Dimchev est un personnage – cabaret : strass et paillettes, rouge à lèvres vif sur un visage poudré de blanc, habillement fantasque, tatouages et piercing innombrables, il régale de tous les excès, usant de son puissant charisme androgyne.
Ses performances chantées sur des textes intimes, engagés, mélancoliques parfois, conjuguent l’opératique, le rock.
cirquemusique
Fin de la soirée 22h30
Contenu sensible.
Tarifs
25/30/40€ - hors pass
2 spectacles+repas+soft
Contenu sensible lié au suicide et sensibilité aux lumières stroboscopiques.
Delusional I killed a man
auteures: Diana Salles & Firenza Guidi /interprète: Diana Salles / mise en scène: Firenza Guidi
Un spectacle soutenu par Zirkus ON Creative Alliance et le Goethe Institute. Zirkus ON est financé par le commissaire à la culture et aux médias du gouvernement fédéral allemand dans le cadre du programme Promoting Connections de l’Association fédérale des arts du spectacle indépendants (BFDK)
LLouise est une forme scénique qui conjugue marionnettes, manipulations, danse, mouvements, et arts numériques. Le spectacle trouve son inspiration dans la vie et l’œuvre de l’artiste franco-américaine Louise Bourgeois. Sur scène des objets font référence à certaines œuvres de l’artiste: s’engage alors un voyage sensible et singulier.
La danseuse, au contact des objets, questionne l’empreinte de l’enfance, la filiation, le rôle de la mère, de la femme, de l’artiste.
Une araignée géante motorisée se met peu à peu en vie sur la scène jusqu’à l’affrontement et la rencontre: oser toucher, repousser, caresser l’animal, comme pour dépasser les limites de ses peurs, de ses colères, de ses propres expériences, jusqu’à la réconciliation et l’apaisement. L’araignée a été un thème important du travail de Louise Bourgeois dans les années 90, plus particulièrement dans la réalisation d’une araignée géante, Maman, qu’elle concevait comme une ode à sa mère – l’arachnide étant perçu comme bénéfique, protecteur.
conception écriture et mise en scène: Françoise Flabat / danseuse: Coralie Meinguet – Camille Mariage (Phase 1 de création) / éclairage – vidéos – scénographie – motorisation: Nicolas – Adrien Houtteman / marionnette nue: Christine Corman / marionnette araignée: Françoise Flabat / marionnette Louise: Matt Jackson / soutien technique: Fred Berthe / photo: Thomas Bohl / teaser: Nicolas-Adrien Houtteman
production: Créa-Théâtre
soutien: Centre de la Marionnette de la Fédération Wallonie Bruxelles, de la Fabrique de Théâtre – Service des arts de la scène de la Province de Hainaut / Théâtre des Doms, le Jardin Parallèle / Maison de la culture de Tournai / Bourse à l’écriture de la SACD.
Si la tonalité de départ est bien celle d’un pétulant optimisme, les choses, peu à peu, se mettent à se désagréger, à partir en vrille, à la manière d’une fin de soirée en délire, dans un chaos d’événements épars – danses, répétitions, altercations, changements de décors et… bulletins météorologiques impromptus.
Les textes sont prononcés par des voix générées par IA à qui les six performeur·euses prêtent leurs corps, donnant ainsi vie à ces locuteur·trices désincarné·es : jacasseries irréelles qui mêlent monologues intérieurs, blagues tombées court et interviews hors sujet.
Tout sonne juste, plus ou moins humain, plus ou moins réel. Un univers étrange et fascinant prolifère, où se brouillent les limites entre ce qui est réel et ce qui n’est que simulacre, entre ce qui est drôle et grave.
performance
Performance
75'
En présentation avec
Kaaitheater
Tarifs
12/18/25€ - PASS 4 / PASS 6
Le spectacle est en anglais et ne sera pas surtitré.
création: Forced entertainment / directeur: Tim Etchells / création et interprétation: Robin Arthur, Seke Chimutengwende, Richard Lowdon, Claire Marshall, Cathy Naden, Terry O’Connor / dramaturgie Tyrone Huggins / éclairages Nigel Edwards / musique & sound design: Tim Etchells / scénographie: Richard Lowdon / responsable de production: Jim Harrison / responsable technique des tournées: Alex Fernandes
coproduction: Athens Epidaurus Festival (GR), Centre Pompidou,Paris (FR), Festival d’Automne (FR), Hebbel Am Ufer, Berlin (RFA), Holland Festival (PB), Kunstler*innenhaus Mousonturm (RFA); PACT Zollverein, Essen (RFA), Theatre Garonne (FR).
Forced Entertainment est un ensemble de six artistes fondé en 1984 et basé à Sheffield. Tournant et présentant leurs spectacles provocateurs et révolutionnaires à travers le Royaume-Uni et au-delà, le groupe a maintenu une pratique de collaboration unique pendant quarante ans.
Le travail explore et souvent explose les conventions du genre, de la narration et du théâtre lui-même, en s’inspirant non seulement du théâtre, mais aussi de la danse, de la performance, de la culture musicale et de formes populaires telles que le cabaret et le stand-up.
C’est en 2015 qu’a débuté l’aventure du Sassy Cabaret, à l’Os à Moelle.
Depuis lors, une ou plusieurs fois par mois, Lili réunit des artistes pour des soirées cabaret. Parmi iels, une dizaine sont régulier·es, c’est La Sassy family.
D’autres sont des guests, des artistes internationalement reconnu·es. Fort de son identité underground et rock’n’roll, le Sassy Cabaret occupe aujourd’hui une place importante sur la scène Queer et féministe. Les numéros proposés peuvent être drôles, poétiques, toucher des sujets légers ou sensibles ; ils sont, au-delà du divertissement, du strass et des paillettes, toujours politiques.
extrapartyperformance
Cabaret - Show drag
140' avec entracte
16+ public averti
En présentation avec
L'Os à Moëlle
Tarifs
40€ place VIP spectacle+soirée à L'Os à Moelle & verre de cava
35€ spectacle+soirée à L'Os à Moelle
25€ spectacle (hors Pass)
Le spectacle est sold out ! Une liste d’attente sera ouverte le jour j à partir de 19h00, en billetterie au 140.
Le spectacle se déroule au 140 et la soirée se poursuit à L’Os à Moelle Av. Emile Max 153, 1030 Schaerbeek
Avertissement :
nudité et semi-nudité, tabagisme, certains actes évoquent l’homophobie,
l’avortement, la grossophobie, etc…
direction artistique, production et mise en scène: Leïla Burnotte aka Lili Mirezmoi / assistantes de production: Sylvie Jacquy et Chloé Deperne / secrétariat: Sophie Brouhon / artistes créateur·ices: Chanelle De Mai, Evita de Mee, Vicomte Harbourg, Séverine Bellini, Champagne Mademoiselle, Blanket La Goulue, Al’x, Ernesto Coyote, Mim’ô Zette, Charly Broutille, Aïka, Loulou Velvet, Lili MirezMoi / technique: Chamz et Robin Guen / régie plateau: Mado Laforge, Leonna Keuraise et Amy Plegie / accueil artistes: Chloé Deperne, Sarah Grâce, Flo / bénévoles: Noémie, Jasmina, Sébastien, Anna, Fanny et Melissa photographes: Estelle Berengier, Benoît Barbossa / illustrations: Eve Brengard /production: The Sassy cabaret / co-production: L’Os à Moelle et le Théâtre le 140 / sponsor: JAM Hôtel / soutien: Warned asbl, le Théâtre la Clarencière et Brussels Art Pole School
remerciements: Samuel Bernard, Aurelie De Coster, Bineta Saware, Pierre Burnotte, Smart, Deborah Gigliotti, Liv, La Barakakings, Jean-Paul Putz, JAM Hôtel, Weiish, Andrea Monticciolo, Julian Bordeau, Laïs VP, Be Gorgeous, Sandrine Mathevon, El Gringo et tous. tes les artistes, performer∙euses, compositeur∙ices, costumièr∙es, photographes et les personnes qui travaillent et/ou ont travaillé avec le Sassy au long de ces 10 ans.
Le Sassy est partenaire et sponsorisé par Jam hôtel, profitez d’une remise de 15% sur la réservation de votre chambre ! Le code promo (valid until 31/12/2024) : SASSYCAB10
Tout objet exposé à la lumière est susceptible de projeter son image réduite par un petit trou percé dans une boîte noire – c’est le principe connu de longue date de la “Camera Oscura”. L’album est donc la métaphore musicale de ce principe, rapporté au monde qui nous entoure.
La musique proposée dans cet album explore plusieurs pistes : le chemin, l’ombre et la lumière.
Après l’album “Amuri & Spiranza”, Pierre Vaiana a souhaité continuer l’aventure en trio – soprano, guitare et cello – pour explorer une orchestration fluide et ouverte, et davantage d’interactions. Les compositions se déroulent comme un voyage intérieur et méditatif.
Pierre Vaiana: soprano sax, compositions / Artan Buleshkai guitare / Lode Vercampt: violoncelle guests: François Vaiana: voix / Félix Zurstrassen: contrebasse / musique composée par Pierre Vaiana / paroles sur Luna d’Argentu et Camera Obscura de Pierre Vaiana / “Camera Obscura” cite “ Inferno “ de Dante Alighieri / enregistré au Jet Studio par Vincent De Bast les 23, 24 et 26 octobre 2023, et le 8 janvier 2024 / mixé par Vincent De Bast au Sonar Studio, juillet 2024 / masterisé par Pieter De Wagter à Equus Studio, juillet 2024
« Ce sont des histoires de cheminement, d’ombre et de lumière. Simplicité, disions-nous, ce qui ne signifie pas simplisme, nudité, squelette. La musique de Pierre, il a tout composé, est belle, lyrique, pleine de contrepoints. Elle fait penser aussi bien à de la musique de chambre qu’à du folk. Et c’est bien là toute la richesse d’un album que l’on doit écouter attentivement et méditer. » Jean-Claude Vantroyen dans Le Soir
« Pas de cascade de notes torrentielles, pas de virtuosité inutile, juste une poésie sonore aux angles si émoussés qu’elle peut paraître simple dans son énoncé sans pour autant jamais tomber dans le simplisme ou la complaisance. Ce louvoiement intimiste autour du violoncelle qu’est Kòsimo résume in fine la philosophie de cette musique : entre ombre et lumière, entre rigueur et liberté, l’art de Pietro Vaiana dessine inlassablement et avec beaucoup de tendresse les contours d’un paysage vivant et baigné de soleil. » Pierre Dulieu dans Dragon Jazz
Ce spectacle, Edwige Baily et Julien Poncet l’ont voulu dans l’après COVID comme “une surprise à offrir aux gens quand iels pourront revenir au théâtre, et pour qu’iels y reviennent toujours: faire avec peu de moyens, un spectacle drôle, émouvant, riche, et qui raconte leur passion pour l’Amour, la poésie, la littérature, le théâtre et la culture”.
Une galaxie de poètes, de Sophocle à Pierre Michon, en passant par Camus, Baudelaire, Galilée, Rimbaud, Vian et tant d’autres sont conviés dans un texte ciselé, millimétré, haletant, tour à tour drôle ou dramatique.
Edwige Baily, seule en scène, en est toute entière traversée – fougueuse, passionnée, captivante, possédée. Elle nous saisit au cœur et aux tripes avec cette ode à l’amour de la littérature, aux imaginaires qui éclairent nos vies, à l’amour tout court.
« Grâce à une mise en scène solidement ficelée et des transitions habilement amenées – soulignons le travail sur les lumières (signé Laurent Kaye et Julien Poncet) et le son (Raphaël Chambouvet) –, Edwige Baily glisse avec une aisance admirable et déconcertante d’un personnage à l’autre : intonation, gestuelle, mimiques, chant,… elle occupe tout l’espace scénique, sans jamais verser dans l’exagération. Un bijou d’intelligence, de finesse, de dérision et d’humour ciselé dans un écrin d’ombre et de lumière, chanté et dansé, ode magnifique à la littérature. » La Libre
« Une ode à l’amour et aux grands auteurs. »Tribune de Lyon
« C’est un moment de théâtre que l’on veut offrir, sans message a transmettre ni leçon à donner. »Jeanne Hoffstetter
Melting tof est un joyeux mélange de 2 courtes formes marionnettiques reliées par un pétillant DJ set. Il met en scène quatre personnages qui, au soir de leur vie, partagent leurs passions, bien décidés à ne rien lâcher de leurs désirs.
Jean, une marionnette à taille humaine, joue avec ses souvenirs, les met en scène, les projette sur écran à l’aide de petites marionnettes et de micro-caméras.
Durant le changement de plateau, Antoine et Gaby prennent le contrôle des platines. Plutôt que de moisir dans leur maison de retraite, ils prennent le large et de cassent la baraque !
Telle une locomotive emballée sur la Missouri Pacific Railroad, Bernard déboule. Plus rien ne l’arrête, il est consumé par un feu intense, le feu de la scène ! Bernard vit intensément, Bernard est la rage de vivre. Bernard est le rock’n’roll !
Un DJ marionnettique prend la suite… la nuit est à vous !
marionnettemusique
Marionnette & DJ set
75' + DJ set en fin de spectacle
16+
Tarifs
12/18/25€ - PASS 4 / PASS 6 / PASS MARIONNETTE
Article 27 accepté
Ce spectacle est une mise en appétit du Festival Maboul, qui a lieu du 12 au 15 décembre prochains.
Partie 1 “Chaud Must Go on”: conception, mise en scène et jeu: Nicolas Laine (artiste associé au TOF Théâtre) / réalisation marionnette, scénographie et création sonore: Nicolas Laine / regard ponctuel et amical: Alain Moreau, Delphine Veggiotti et Mehrzad Kateb / création lumière: Nicolas Laine sous le regard averti de Matthieu Chemin, Amaury Bertels et Lola Royano
Partie 2 “Été 69”: comédiens/marionnettistes Alain Moreau et Jean Dekoninck / accompagnement artistique et customisation des images projetés: Thomas Boucart / coups d’œil complices: Nicolas Laine, Dorothée Schoonooghe et My-Linh Bui / aide à la réalisation: Andrzej Zeydler-Zborowski, Céline Robaszynski et Matthieu Chemin
production: Nicolas Laine et TOF Théâtre / soutiens: Fédération Wallonie-Bruxelles, Province du Brabant wallon / spectacle fabriqué au MONTY – Tiers-lieu artistique, culturel et citoyen à Genappe / diffusion: My-Linh Bui
Court métrage de fiction de Maxime Jennes & Léa Le Fell, Marotte est la rencontre inédite avec un groupe de personnes âgées de la maison de repos et de soin Albert Delatour du CPAS de Schaerbeek au cours d’ateliers théâtre et cinéma menés pendant deux ans.
L’idée du scénario est survenue lors de l’annulation pour la cinquième année consécutive du voyage à la mer – la seule sortie de l’année tant attendue par les résident·es. Un des résidents, Leying, qui a la mer aux tripes et encaisse, moins encore que les autres la nouvelle s’écrie: “cettefois-ci dans le prochain film on cambriole la camionnette et on part à la mer!”
Objet politique/poétique, il se penche sur ces lieux de mise à la marge que sont les maisons de repos et de soin dans notre société, d’où surgit cependant, malgré le déclin et les atteintes aux corps, la vitalité, l’humour, la joie, la passion, la profondeur de leurs résident·es, loin de la représentation que nous nous en faisons.
extramusique
Ciné concert
75'
Tout public
En présentation avec
L'équipe de la Marotte
Tarifs
Gratuit
La projection est suivie d’un concert de la fanfare Babelouze dirigée par Michel Massot et du chœur les Estourdions dirigé par Véronique Ravier de l’Académie Jean Absil.
Marotte, un film de Maxime Jennes et Léa Le Fell / acteurices: Leying Mabunga, Marc De Decker, Rita Watelle, Georges Preseau, Adriana Munteanu, Béatrice Debeir, Josette Pen, Chahid Lahhit, Olivier Vasaune, Ayaz Ali Lajli, Mariem Hayouni, Evelyne Vranckx / monteur image: Félix Varmaen / prise de son: David Ferral / monteur son: Antoine Wattier / étalonneur: Lucien Keller / production: Lio Scailteur, Bastien Brabant / coach vocal: Lien Saey / composition: Michel Massot / musiciens: Michel Massot, Zéphyr Zijlstra, Célestin Massot / ingénieur du son: Antoine Thonon au Low man’s Land studio
coproduction et soutien: Fédération Wallonie-Bruxelles (un futur pour la culture), Le CBA, La Cocof, CPAS de Schaerbeek et la maison de repos Albert De La tour, l’Académie Jean Absil, Boréal asbl Les Meutes asbl, Hold Up asbl, Wise up production.
Babelouze: Michel Massot, compositions, arrangements, direction / Julie Soblet, Estelle Petit, Andrée Van De Steen, Flore Bigot, Christine Lamy, Benoit Gérard, tubas / Catherine de Biasion, Céline Taubennest, Basil Philippe, Tom Van Antro, Anne Diez, Bertrand Monette, Emma Baldeweyns, Mathilde de Montdésir, Barbara Lenain, trombones / Andreï Beuthe De Jaegher, Sophie Loye, Chloé Larrère, Rosalie Ballereau, Jean François Raskin, Zéphyr Zijlstra, Clément Piment, Philippe Witjes, trompettes / Hugues Devos, Chloé Bayens, Xavier Le Den, Sophie Gérard, Catou Pecher, bugles /Benoit Randaxhe, sousaphone / Thibault Dramaix, hélicon / Yvain Longaretti, Boris Illes, Mylène Barlet-Sire, Annabelle Piron, flûte / Véronique Ravier, Wattha Sananikone, percussions.
“Une langue bricolée, un orchestre de poche, une musique de chambre pas toujours bien rangée. Un univers poétique et singulier, entre théâtre des sons et musique des mots.” – voilà l’essentiel de ce que peut-être un concert comme celui-ci, qui fête une double sortie de LP : Contes Nus avec Thomassenko A4 et Dix souris dans le maquis, où se joint à la phalange initiale le groupe vocal féminin Ze Pocket Koral.
L’imprévisibilité conserve toute la fraîcheur de la spontanéité: il va donc de soi qu’on s’expose à un méli- mélo de LPs, sans parler d’éventuelles surprises et imprévus…
Il y a des polyphonies intimistes, du rythme, de l’humour, des mélodies qui invitent le public à participer. On y parle des étoiles, des orangs-outans, des trous noirs et des vaches, des pommes d’arrosoir, d’une Reine qui s’appelle Claude, etc.
Nora, le personnage principal d’Une Maison de Poupée dans la pièce d’Henrik Ibsen, est la “petite alouette” exemplaire d’un mari banquier et l’insignifiante femme d’un foyer modèle. Ibsen, en 1879, mettait en évidence la quête d’émancipation de son héroïne, face aux conventions sociales oppressives et ses faux-semblants.
L’adaptation d’Yngvild Aspeli emmène les spectateur·ices dans un jeu troublant entre illusion et réalité, où les marionnettes à taille humaine se font métaphores d’une société de faux-semblants. Le jeu virtuose et fascinant qui s’instaure entre celles-ci et les acteur·ices fait toute la force de ce spectacle troublant où les manipulations figurent, à l’œuvre, celles de la société patriarcale dans laquelle est prise Nora et à laquelle elle se cogne dans sa quête de liberté et de conquête de son identité.
Yngvild Aspeli y met toute l’intelligence et la subtilité de son art, marionnettique certes, mais aux frontières de deux disciplines : “Le théâtre de marionnette est une forme qui se réinvente constamment, qui traverse sans peur les frontières des autres disciplines artistiques. C’est une expression artistique qui dépasse la classification. Ce n’est pas qu’une forme, ou une technique, c’est un regard, une langue, un état d’esprit.”
marionnettethéâtre
Marionnette
80'
14+
Tarifs
12/18/25€ - PASS 4 / PASS 6 / PASS MARIONNETTE
Article 27 accepté
En anglais surtitré français
Le spectacle est complet, mais pas de panique. Une liste d’attente sera ouverte le soir même, en billetterie.
mise en scène: Yngvild Aspeli, Paola Rizz / actrice- marionnettiste: Maja Kunsic / acteur-marionnettiste: Viktor Lukawski / composition musique: Guro Skumsnes Moe / chorale – Oslo 14 Ensemble / fabrication marionnettes: Yngvild Aspeli, Sébastien Puech, Carole Allemand, Pascale Blaison, Delphine Cerf, Romain Duverne / scénographie: François Gauthier-Lafaye / fabrication décor: Eclektik Sceno / lumière: Vincent Loubière / costumes: Benjamin Moreau / son: Simon Masson / plateau et manipulation: Alix Weugue / dramaturgie: Pauline Thimonnier / chorégraphie: Cécile Laloy / directrice de production et diffusion: Claire Costa – administration: Anne-Laure Doucet / administration de tournée: Gaedig Bonabesse / chargée de production et diffusion: Noémie Jore
production Plexus Polaire
coproductions: Théâtre Dijon Bourgogne CDN (FR) / Les Gémeaux, Scène Nationale de Sceaux (FR) / le Bateau Feu, Scène Nationale de Dunkerque (FR) / Le Trident, Scène Nationale de Cherbourg (FR) / le Manège, Scène Nationale de Reims (FR) / Figurteatret i Nordland, Stamsund (NO) / Baerum Kulturhus (NO) / Nordland Teater, Mo i Rana(NO) / Teater Innlandet, Hamar (NO) / Festival Mondial des Théâtres de Marionnette de Charleville-Mézières (FR) / Ljubljana Puppet Theatre / Lutkovno gledališe Ljubljana (SL) soutiens: Kulturrådet / Arts Council Norway (NO) / DGCA Ministère de la Culture (FR) / DRAC et Région Bourgogne Franche Comté (FR) / Département de l’Yonne (FR).
La Compagnie Piment Langue d’Oiseau s’empare du texte d’Alex Lorette, Mouton Noir qui imagine une jeune adolescente happée par la mécanique infernale du harcèlement. L’horlogerie dévoile une mécanique invisible, destructrice, fatale, tout en livrant une réflexion distanciée sur le fonctionnement des humains en groupe et la place de chacun·e.
Implacablement, les séquences s’enchaînent: Camille, adolescente timide, est le bouc émissaire de “la bande”, soutenue par Mila qui est une sorte d’amie imaginaire. Vient le baptême : Camille sera “la grosse cochonne” du collège.
Suivent les attaques physiques, les humiliations répétées, publiques aussi, et la honte, le repli qui enserrent jusqu’à l’étouffement final. Les quatre comédien·nes incarnent tour à tour les différent·es protagonistes de cet engrenage montrant ainsi que ne sont pas immuables et qu’il n’y a pas de fatalité à en être la victime.
jeune publicthéâtre
Marionnette
45'
12+
En présentation avec
Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles
Une générale tout public aura lieu lundi 13 janvier à 20h00 au 140
Gratuit sur réservation : pour réserver c’est ici
conception et mise en scène: Marie Gaultier / interprétation: Manon Charrier, Benjamin Lamy Berrué, Alice Le Bars et Zélie Thareaut / lumières: Natalie Gallard / technicien son et lumières: Alexandre Mornet, en alternance avec Romain Mulochau / musique: Arnaud Coutancier / constructeur: Philippe Ragot / production et tournées: Julie Ortiz
Avec le soutien de l’État – Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) des Pays de la Loire, la Région Pays de la Loire, Département de Maine-et-Loire, la Ville d’Angers, ADAMI, le Crédit Agricole
Co-produit par le Théâtre du Champ de Bataille à Angers
« Un spectacle qui donne à voir, à discuter et à agir. » – La Terrasse, Catherine Robert
« Mouton Noir, le harcèlement scolaire en pleine poire avec ses portiques métalliques mouvants qui inscrivent les lieux, ses costumes accrochés à des esses de boucher et qui, dès que les artistes les enfilent, dessinent le personnage, la mise en scène est une totale réussite. » L’Oeil d’Olivier – Marie Céline Nivière
Gene Kelly chantait “I’m singing in the rain”, la compagnie Anorak fait mieux. Avec humour et dérision, les trois compères ont filé en réponse à la question, une petite “fable circassienne”, un chapelet drolatique, loufoque, de moments où rien ne va plus, avec une reine sous la pluie, un slow dans une première boum, la mort du meilleur ami, des rêves échoués, des petites victoires, un inventaire de foirades et surtout: de la jonglerie.
Munsch
Munsch exprime les cris étouffés, ceux que l’on ne peut sortir. Intérieurs, sublimés ou expulsés, ils deviennent mélodies, textures ou ambiances. Le trombone, l’accordéon et les percussions entrent en hybridation, augmentés par l’électronique, le temps s’étire, se contracte, dans les méandres des genres – musique électronique, jazz, mélodies folkloriques – et des registres d’émotion.
cirquemusiqueparty
Fin de la soirée 22h
Tarifs
25/30/40€ hors pass
Une liste d’attente sera ouverte en billetterie à partir de 18h30.
Tom Boccara, Gaëlle Coppée, Denis Michiels / coach, mise en scène: Bram Dobbelaere / conseils artistiques et dramaturgiques: Gaël Santisteva / conseils en jeu clownesque: Christine Rossignol- Dallaire / création lumière: Thibault Condy / costumes: Héloïse Mathieu / diffusion & production: Chantal Heck – La chouette diffusion
coproductions & résidences : maison de la culture Tournai – maison de création (BE) / Perplx, Kortrijk (BE) / Latitude 50 – Pôle des Arts du Cirque et de la Rue, Marchin (BE) / UP Circus & Performing Arts, Bruxelles (BE) / Festival International des arts de la rue de Chassepierre (BE) / Centre Culturel Wolubilis, Bruxelles (BE) / CCBW- Centre Culturel du Brabant Wallon, Court-Saint Etienne (BE) soutiens : Fédération Wallonie-Bruxelles | Wallonie-Bruxelles Théâtre-Danse / Risotto, réseau pour l’essor des arts de la rue et de l’espace public en Île-de-France résidences : Archipel 19 – Centre culturel de Berchem-Sainte-Agathe et de Koekelberg (BE) / Centre Culturel d’Uccle (BE) / Maison de la Création (BE) / La Batoude, Beauvais (FR)
Munsch
Adrien Lambinet, trombone / Julien de Borman , accordéon / Dudu Prudente, percussions / son : Renaud Carton / lumières: Valentin Boucq / mise en espace: Caroline Leboutte / création vidéo : Damien Petitot
Dans le placard, le débarras, là, sous l’escalier, le temps passe, les enfants se succèdent. Des années les séparent, pourtant leurs jeux se ressemblent. Leurs époques diffèrent, mais leurs émotions se ressemblent.
Leurs modes de vie évoluent, leurs aspirations demeurent. Chaque enfant est unique et chaque enfant se ressemble. Les spectateur·ices sont les témoins privilégié·es de leurs moments de complicité, de secrets partagés, d’interdits transgressés, dans une histoire à tiroirs qui superpose les enfances d’époques différentes à travers le siècle passé, qui toutes on fait du débarras un refuge et l’écrin de leurs imaginaires.
Bon débarras! est un spectacle marionnette à rebondissements, drôle et intelligent, qui célèbre nos enfances, celles de nos parents, de nos grands- parents, des parents de nos grands parents.
jeune publicmarionnette
Marionnette, jeune public
60'
8+
En présentation avec
Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles
interprétation: Sandrine Bastin, Perrine Ledent , Anaïs Grandamy (en alternance), Chloé Struvay, Laurane Pardoen (en alternance) / Idée originale Sandrine Bastin / mise en scène: Muriel Clairembourg / assistanat mise en scène: Margaux Van Audenrode / scénographie: Sarah de Battice / marionnettes: Jean-Christophe Lefèvre / Annick Walachniewicz / création lumière: Dimitri Joukovsky / décor sonore: Michov Gillet / régie: Lucas André, Mathieu Houart / construction décors: ateliers Berton – Sarah de Battice, Raphaël Michiels / graphisme affiche: Anne Crahay / diffusion: Margaux Van Audenrode
soutien: Fédération Wallonie-Bruxelles et de Wallonie- Bruxelles Théâtre et Danse.
Avec l’aide des Centres Culturels de Waremme, Braine l’Alleud, Chênée, Tintigny-Rossignol et Remicourt. Merci à Alexis Nachtergael, Geoffrey Mornard, Olivier Palgen, Jean-Marc Delhausse, Éric Giersé, la Cie Dérivation.
“Une scénographie dépliable, des marionnettes plus vraies que nature, et une histoire à tiroirs qui se déroule comme un jeu de piste, mélangeant les époques à travers le passé d’un même lieu. […] Bon débarras ! Réussit l’exploit de brasser un siècle d’histoire sans avoir l’air d’y toucher […].” Catherine Makereel – Le Soir – 21 août 2017
“Un siècle d’histoire raconté avec humour et juste lenteur, sous l’escalier, dans les coulisses des jeux et petits drames d’enfants, voilà le tour de force réalisé par la Compagnie Alula et ses marionnettes[…].” Laurence Bertels – La Libre – 22 août 2017
Le quotidien sans histoire d’une petite ville de province est bouleversé par l’intrusion intempestive et inexplicable d’un rhinocéros, en pleine rue. Un mal étrange frappe rapidement un·e à un·e les habitant·es de la ville qui se transforment en pachydermes. Rapidement l’espace vital se réduit et les règnes s’inversent, ne laissant qu’un dernier homme.
Au moment où l’Europe replonge dans les eaux sombres du nationalisme et des extrêmes droites, Bérangère Vantusso s’empare de cette œuvre majeure du théâtre d’après-guerre, écrite par Ionesco en écho à la montée du nazisme. Elle en fait résonner, de manière stylisée, l’inquiétante modernité, en déconstruit les mécanismes de propagation des idéologies et nous tend un miroir suffisamment déformant pour que nous puissions y réfléchir.
Démarrant en fausse piste comme une comédie drame dans un abri menacé, Rhinocéros est une plongée méticuleuse dans le chaos de l’âme humaine, qui sonde nos piétinements et nous demande pourquoi nous apprenons si peu du passé.
marionnettethéâtre
Marionnette, théâtre d'objets
90'
14+
En présentation avec
Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles
Texte de Eugène Ionesco, mise en scène: Bérangère Vantusso, adaptation et dramaturgie: Nicolas Doutey. Avec Boris Alestchenkoff, Simon Anglès, Thomas Cordeiro, Hugues De la Salle, Tamara Lipszyc, Maïka Radigalès
Collaboration artistique: Philippe Rodriguez-Jorda, assistanat à la mise en scène: Pauline Rousseau, scénographie: Cerise Guyon, création lumière: Anne Vaglio, costumes: Sara Bartesaghi-Gallo assistée de Elise Garraud, création musicale: Antonin Leymarie, création son: Grégoire Leymarie avec la participation à la bande son Matthieu Ha (voix), Giani Caserotto (guitare), Fabrizio Rat (piano), Adrian Bourget (mixage et traitement en direct), régie générale et lumière: Philippe Hariga, régie son: Vincent Petruzzellis, régie plateau: Léo Taulelle, construction décor: Fabien Fischer, Maxime Klasen, reprise décor: Atelier du Théâtre Olympia – CDN de Tours, accessoires: Sébastien Baille
Administration, production: Flavia Amarrurtu, avec le soutien de Véronique Atlan Fabre à la diffusion, et depuis février 2024 : équipe du Théâtre Olympia – CDN de Tours
production: Cie trois-6ix-trente, en collaboration avec Formart
production déléguée à partir du 1er février 2024 : Théâtre Olympia – CDN de Tours
coproduction et résidence Théâtre de la Manufacture – CDN de Nancy Lorraine, Studio-Théâtre de Vitry, Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine
coproduction Théâtre Olympia – CDN de Tours, Maison de la Culture d’Amiens – Pôle européen de création et de production, Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine, Le Carreau Scène nationale de Forbach, Théâtre Joliette – Scène conventionnée art et création expressions et écritures contemporaines – Marseille
avec le soutien de Malakoff scène nationale et de l’ENSAD Montpellier (Ecole nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier)
Un théâtre d’objet malicieux quand les cubes se font chat, chien, téléphone, porte, lit, que les comédiens manipulent avec naturel et dextérité, marionnettistes inventifs et toniques. Webtheatre
Bérangère Vantusso fait éclater la modernité de Rhinocéros, d’Eugène Ionesco, grâce à un astucieux théâtre d’objets. Le Monde
En plongeant avec brio dans le théâtre de l’absurde, la metteuse en scène réactive la pertinence de la métaphore pachydermique pour penser les idéologies dans le monde actuel. Les Échos
Libérée de faits historiques, Rhinocéros questionne les relations humaines et surtout la façon dont les idéologies se propagent. Mise en scène par Bérangère Vantusso, la pièce de Ionesco résonne formidablement avec notre époque. Le Figaro
Pièce que met en scène avec passion et brio Bérangère Vantusso. […] Plus de soixante ans après les premières représentations, Rhinocéros n’a toujours rien d’une fable animalière, et c’est bien, nous dit encore Bérangère Vantusso, «une comédie burlesque qui finit en drame ». L’Humanité
Inspiré librement des matières et créatures qui jonchent le littoral et habitent les océans, Soudain les îles est un solo sans paroles, déployant un univers marionnettique sensoriel, à la fois étrange et familier. L’artiste interdisciplinaire Laurence Petitpas y a posé sa marque et son univers : chaque créature marine ou terrestre porte en elle la possibilité de l’apparition de la prochaine, chaque métamorphose les fait apparaître en elles-mêmes et potentiellement autres.
Jouant sur les principes d’apparition et de disparition, de construction et de destruction, Soudain les îles dessine des mondes possibles et met en lumière la force du geste créateur qui habite chaque être humain, dès la petite enfance.
Évocatrices de la fuite, de la solitude ou du refuge, les îles se font métaphores de nos territoires intérieurs, et émotifs changeants qui forment le lit de notre créativité.
jeune publicmarionnette
Marionnette, jeune public
30'
2+
En présentation avec
Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles
Par la magie d’un casque de réalité virtuelle, vous êtes au centre de la scène. En complète immersion dans la chorégraphie, au plus près des danseur·euses du plateau, des corps en mouvement…
Au travers d’une expérience de 40 minutes au cœur de trois extraits de pièces emblématiques de leurs répertoires, adaptées spécialement pour l’occasion – The Complex Simplicity of Love de Margie Gillis, Allegro Barbaro d’Hélène Blackburn, 6.58 manifesto d’Andrea Peña – plongez dans la danse autrement et vivez une expérience du corps inédite !
Recommandé aux amateur·ices de danse contemporaine comme aux personnes curieuses de nouvelles expériences technologiques.
production: Agora de la danse – réalisation: Studio La Fougue / L’Agora de la danse remercie pour son soutien financier le Conseil des arts et des lettres du Québec /
chorégraphies: Allegro Barbaro – Hélène Blackburn / Cas Public / interprètes: Cai Glover, Alexander Ellison, Laura Vande Zande, Adrian Maxwell-Campagna, Élodie Scholtes-Labrecque, Aicha Ben Chaaboune, Mateo Picone, Raphael Bouchard, Florence Hughes, Anja Fanslau
The Complex Simplicity of Love – Margie Gillis / interprètes: Margie Gillis, Geneviève Boulet, Susan Paulson 6.58 Manifesto – Andrea Peña / interprètes: Nicholas Bellefleur, Gabby Kachan, Jean-Benoît Labrecque, Jontae McCrory, Erin O’loughlin, Francois Richard, Frédérique Rodier, Laura Toma – soprano: Erin Lindsay
La présentation de cette œuvre est rendue possible grâce à l’appui financer du Conseil des arts et des lettres du Québec. Avec l’aide le la Délégation générale du Québec à Bruxelles. Avec l’aimable collaboration de l’Agora de la Danse (Québec) et de Wallonie Bruxelles international.
Geneviève Matthieu est un duo d’artistes formé à Rouyn-Noranda (Québec, Canada) à la fin des années 1990. Artistes pluriel·les, iels créent des représentations collectives et des mises en scène de tableaux sociaux inspirés de l’art et de la vie.
Le duo présente ici en concert un carrousel performatif qui retrace l’ensemble de leur parcours musical de 1999 à aujourd’hui. Enfant du plomb du quartier Notre-Dame en Abitibi, le duo Geneviève Matthieu évolue depuis un quart de siècle entre les aléas de la vie d’artiste et le fruit de la création.
Mélangeant musique, poésie et arts visuels, iels offrent des performances baroques dans lesquelles l’improvisation, le storytelling, l’opéra et la mélodie font acte de foi. Et ajoutent: “Crions notre joie”.
musiqueperformance
Projet musical hybride
60'
Tarifs
12/18/25€ - PASS LINGUALES / PASS 4 / PASS 6
Pour des raisons exceptionnelles touchant un membre de l’équipe artistique, nous sommes contraint·es d’annuler les performances de Geneviève Matthieu. Merci pour votre compréhension et votre soutien.
La présentation de cette œuvre est rendue possible grâce à l’appui financer du Conseil des arts et des lettres du Québec. Avec l’aide le la Délégation générale du Québec à Bruxelles. Avec l’aimable collaboration de l’Agora de la Danse (Québec) et de Wallonie Bruxelles international.
La chorégraphe Mélanie Demers a fait de sa fidèle collaboratrice, Angélique Willkie, sa muse pour ce solo autobiographique. Un métissage de formes, de vies et de visions entre deux artistes multidisciplinaires qui se connaissent bien.
Confession Publique aborde les thèmes du privé, du secret, du profond et du marécageux. Il y est question de noblesse et d’élégance dans la confession. Le dévoilement ici se donne à voir comme un geste poétique autant qu’une nécessité.
Le corps révèle autant, sinon plus, que les paroles. Le rapport est intime et intimidant. Entre grandes déclarations et petites confessions, entre les doutes et les demi-vérités, les zones d’ombre affrontent le côtoient l’intime et l’extime que nous nous immisçons. C’est dans cette craque que nous nous glissons pour observer nos travers, caresser nos cicatrices et contempler nos maux. Parce que ce sont dans nos fêlures, nos brisures, nos fissures que nous sommes les plus authentiques.
idéation, mise en scène et chorégraphie: Mélanie Demers / interprètes: Angélique Willkie avec la participation d’Anne-Marie Jourdenais / direction répétitions: Anne-Marie Jourdenais / dramaturgie: Angélique Willkie / conception musicale: Frannie Holder / musique additionnelle: extrait de The Fairy Queen, composé par Henry Purcell et chanté par Angélique Willkie / scénographie: Odile Gamache / conception lumière: Claire Seyller / costumes et accessoires: Elen Ewing / direction technique & régie: Hannah Kirby/ régie surtitre: Joël Machuca / sonorisateur: Benoit Bouchard / direction de production: Dominique Sarrazin / production: Alec Arsenault / remerciements: Éléonore Loiselle, Mélanie Primeau
coproduction: La Chapelle Scènes Contemporaines Montréal (CA)/ Agora de la danse Montréal (CA)/ Centro per la Scena Contemporanea Bassano del Grappa (IT) / Cette création fait l’objet d’une recherche- création doctorale au Département d’Études et pratiques des arts de l’UQAM.
La présentation de cette œuvre est rendue possible grâce à l’appui financer du Conseil des arts et des lettres du Québec. Avec l’aide le la Délégation générale du Québec à Bruxelles. Avec l’aimable collaboration de l’Agora de la Danse (Québec) et de Wallonie Bruxelles international.
« Sensuellement complexe, Confession Publique nous laisse béat· es devant l’envergure du talent d’interprète d’Angélique Willkie et de sa rencontre fructueuse avec l’univers de Demers. » Alexie Legendre, Revue JEU
« Dans ce récit personnel, les « aveux » auxquels le public aura droit traitent autant des forces et des faiblesses de chacune, des sentiments nobles et des pensées plus banales. Une telle plongée en soi ramène à la surface autant de sédiments éclatants que de scories. » Mario Cloutier, La Presse
« Porté avec force par Angélique Willkie, ce puissant solo de Mélanie Demers bouscule les conventions et redéfinit la perception de ce que devrait être une confession. » Nancie Boulay BP Arts Média
« Le chaos de l’intimité est inexprimable » dit le protagoniste du Gardien des Enfants, une performance théâtrale hybride qui tente l’évocation publique des traces laissées par la violence sexuelle sur le corps et l’esprit de celleux qui la subissent. Une entreprise caractéristique du collectif Théâtre Indépendant, attaché à dépeindre une vision altersexuelle (queer) du monde, donnant la parole à des voix invisibilisées dans un esprit d’élargissement des récits collectifs.
Dans un rituel énigmatique en un lieu vaporeux, Charles Voyer navigue dans les méandres de sa mémoire et nous invite dans sa quête à la recherche d’une certaine quiétude, d’un apaisement.
performancethéâtre
Performance théâtrale
55'
18+
En présentation avec
La Maison Poème
Tarifs
12/18/25€ - PASS LINGUALES / PASS 4 / PASS 6
Contenu sensible.
CespectaclesedérouleàlaMaisonPoème rue d’Ecosse 30, 1060 Bruxelles
texte et performance: Charles Voyer / mise en scène: JJ Houle / lumières: Flavie Lemée / scénographie: Léo Gaudreault / conception sonore: Antoine Racine
production: Le Théâtre indépendant / production déléguée LA SERRE – arts vivants
soutien: Conseil des arts et lettres du Québec, Conseil des arts de Montréal, Théâtre Prospero
La présentation de cette œuvre est rendue possible grâce à l’appui financer du Conseil des arts et des lettres du Québec. Avec l’aide le la Délégation générale du Québec à Bruxelles. Avec l’aimable collaboration de l’Agora de la Danse (Québec) et de Wallonie Bruxelles international.
« Le cérémonial, à la fois intrigant et envoûtant, demeure en partie énigmatique. On en ressort pourtant, après une heure, avec un sentiment de paix, et d’admiration devant la maîtrise des divers éléments d’une performance somme toute plutôt inattendue. » Raymond Bertin, Revue Jeu
« Évitant tout acte de provocation, Le gardien des enfants demeure une œuvre essentielle dans la dramaturgie queer. » Élie Castiel, KinoCulture
« Charles Voyer est saisissant de justesse. […] C’est toute une expérience théâtrale, comme on en voit trop peu, qui attend le public. » Tania Lamoureux, BP arts Média
« Une partition poétique sans fautes, pleine d’inventivité et de finesse. » Étienne Bergeron, Magazine Spirale
« Le texte est touchant et très bien écrit. […] C’est une prise de parole qui est importante et nécessaire. Allez-y. » Mathieu Tessier, Canal M
Jamais le spectacle de la mort des autres n’a été rendu aussi visible via les médias et le cinéma, les jeux vidéo et internet. Mais la nôtre, dans nos sociétés modernes, nous ne semblons plus la considérer, la penser. Comment imaginer que l’effacement dans lequel se trouve la question de notre propre mort ne nous soit pas, un jour ou l’autre, dommageable ?
Le collectif Une Tribu a décidé de traduire ses interrogations par la pratique même de la marionnette dans une approche concrète. Les artistes développent un récit simple, voire naïf : à la mort de sa grand-mère, une petite fille décide qu’elle, on ne la mettra jamais dans une boîte. Elle va grandir et vivre sa vie sans penser à la mort.
Grâce à la force des images et à l’ambivalence de la marionnette, les auteur·ices ménagent un espace de réflexion. Objet inanimé auquel on prête la vie, la marionnette n’a de cesse d’emprunter des passages entre le vivant et le mort. Des deux mondes. La marionnette s’y engouffre et nous entraîne vers de troublantes zones, sans pour autant nous faire violence.
jeune publicmarionnette
Marionnette, jeune public
60'
12+
En présentation avec
Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles (coproduction)
mise en scène Noémie Vincart, Michel Villée (et Natacha Belova sur la première version) / interprétation et chantsNinon Perez et Liane Van de Putte / écriture Michel Villée Composition musicale et création sonore Alice Hebborn et Thomas Giry / création lumière Caspar Langhoff / construction des marionnettes Natacha Belova et Anaëlle Impe / scénographie Natacha Belova et Caspar Langhoff / construction décor Guy Carbonnelle et Valentin Périlleux /costumesRita Belova et Sylvie Thévenard / assistance et regard dramaturgique Anaëlle Impe et Marion Lory / assistantes à la mise en scène Rita Belova et Adèle Lacrampe – Peyroutet (Lou Hebborn, Fanny Swysen, Vanda Tollas sur la première version) / regards extérieurs (sur le première version) Didier De Neck, Sarah Hebborn, Daniel Schmitz, Alana Osbourne / production & diffusion Meryl Moens, Michel Van Slijpe – MoDul
production Une Tribu Collectif ASBL et MoDul asbl
coproductions le 140, Pierre de Lune, Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes (Charleville-Mézières, France), La Coop ASBL et Shelter Prod. Soutien Fédération Wallonie-Bruxelles, taxshelter.be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge.
Avec l’aide de Théâtre de Galafronie, Tas de Sable – Ches Panses Vertes (Amiens, FR) / Centre Culturel de Beauraing / Centre Culturel La Vénerie de Watermael- Boitsfort / Théâtre Le Boson
« Une Tribu Collectif – a young Belgian theatre company – presented La Brèche, its most recent and already fourth spectacle co-directed by Belova, Noémie Vincart, and Michel Villée. This is a play about passing and a wish cherished by a little girl who buried her beloved granny and in time became a biologist working of the prolongation of life so as to never again think about death. It is also a show about a puppet, which refuses to admit that it is a puppet. A highly attractive production, meticulously performed by Vincart and Villée, and showing just how rapidly these young performers are progressing (…). » MAREK WASZKIEL – ZE SWIATA (Poland)
« Un spectacle à voir absolument pour renouer avec nos ombres et aborder la thématique de la disparition. » LUCA LOTANO – TEATRO E CRITICA (Italie)
Casimir est un conte tiré du livre Contes d’hiver de Grégoire Solotareff écrit en 2001.
Tout le monde savait que le déménagement de Casimir et sa famille serait un évènement, mais personne ne pensait qu’il bouleverserait à ce point le village des lutins.
Et la grande question qui était sur toutes les lèvres, « pourquoi sont-iels partis si vite ? », personne n’osait la poser. Car au fond, chacun·e connaissait la réponse : Casimir et sa famille avaient été proprement éjectés du village. Les choses étant ce qu’elles sont et plus encore, comme elles vont ces temps derniers, l’histoire de Casimir, de l’étranger est absolument actuelle.
Un spectacle poétique où se mêle le grave, le tendre et l’humour.
jeune publicmarionnette
Théâtre d'objets, jeune public
54'
6+
En présentation avec
Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles
écriture collective d’après le conte Casimir de Grégoire Solotareff / mise en scène: Jean-Michel Frère / interprétation: Martine Godard, Sabine Thunus & Nicolas Duchauvel / coaching objets: Sabine Durand / scénographie: Valentin Périlleux assisté de Jeannine Bouhon / toile peinte: Eugénie Obolenski / mécanismes: Paco Argüelles Gonzalez / costumes : Hélène Lhoest / création lumière: Dimitri Joukovski / création musicale: Pirly Zurstrassen / création sonore: Maxime Glaude / chorégraphie: Laetitia Lucatelli / régie générale: Gauthier Vaessen / graphisme: Frédéric Hainaut & Camille Henrard / photos: Érik Duckers / cahier d’accompagnement: Chantal Henry & Philippe-Michaël Jadin / animations: Stefanie Heinrichs & Pauline Moureau / production & diffusion: Isabelle Authom
Coproduction: Centre Culturel de Verviers / Centre Culturel du Brabant Wallon / Les Rotondes (LU) / La Tribu (spectacle vivant en région P.A.C.A – FR) / La Coop asbl et Shelter Prod
Avec l’aide de Pierre de Lune – Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles / Champilambart – Festival CEP PARTY (FR) / CC Fosses-la-Ville / CC Ciney / CC Theux/ CC de Stavelot, Ékla pour tous (Centre scénique de Wallonie pour l’enfance et la jeunesse) / Province de Liège / Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Général de la Création Artistique – Direction du Théâtre / taxshelter.be / ING / Tax Shelter du Gouvernement Fédéral Belge
Merci à Isabelle Authom, Bernadette Baeken, Laetitia Contino, Robert Delcour, Carine Ermans, Nicolas Freyman, Michèle Gonay, Joseph Jorssen Nina Lelotte, Vincent Moreau & Anne-Françoise Mouchette
« Sans donner de leçon de morale, l’équipe s’est emparée de la noirceur de Grégoire Solotareff, de son trait cruel, tout en y apposant la patte toute douce d’Arts et Couleurs, avec ses petits bonnets crochetés et ses petites lumières qui réchauffent dans la nuit. » Catherine Makereel – Le Soir
« Un spectacle à ne pas manquer par sa qualité de théâtre d’objets et le choix des thèmes tels le racisme et la politique d’accueil des migrants. » Isabelle Spriet – Les Parents et l’Ecole (UFAPEC)
« Le propos de « Casimir » est la tolérance envers autrui. Ici, dans un village perdu au sein d’une contrée proche en climat de la Sibérie. Un jour, des étrangers débarquent. Il faut les loger. Ils s’installent. Subissent des contraintes mais s’en accommodent. Ils s’intègrent, s’adaptent tout en conservant une part importante de leurs habitudes culturelles. Alors, ils dérangent et sont sommés de quitter le territoire. L’anecdote, hélas ! est banale. » Michel Voiturier – Webthéâtre
“Hen” (que l’on peut prononcer Heune) est un pronom suédois entré dans le dictionnaire en 2015 permettant de désigner indifféremment un homme ou une femme.
Hen est ici un personnage plein de vie, exubérant, diva enragée et virile à talons qui s’exprime en être absolument libre, chantant l’amour, l’espoir, les corps, la sexualité. Le tout avec humour et insolence, au gré de ses identités multiples, au fil du récit de son parcours intime.
Hen est minutieusement sculpté·e, fait de mousse, de bois, de métal et de latex. Créature chimérique littéralement, iel se transforme et joue avec les images masculines et féminines grâce à un corps pouvant muter avec insolence et malice au gré de ses envies. Dans un cabaret déjanté qui s’apparente aux cabarets berlinois des années 30 ou de la scène performative queer actuelle, Hen affirme une identité multiple.
Un spectacle en filiation directe avec une longue tradition de théâtre de marionnettes subversif – une bulle d’oxygène, donc !
Beaune, Johanny Bert / musiciens en scènes et arrangements: Guillaume Bongiraud (violoncelle électroacoustique), Cyrille Froger (percussionniste) / écriture chansons: Prunella Rivière, Laurent Madiot, Alexis Morel, Yumma Ornelle, Pierre Notte, Marie Nimier, Gwendoline Soublin + reprise de Brigitte Fontaine / collaboration mise en scène: Cécile Vitrant / régie générale en tournée: Gilles Richard, Gauthier Le Goff (en alternance) / régisseur son en tournée: Simon Muller, Emilie Tramier (en alternance) / fabrication des marionnettes: Eduardo Felix / lifting Hen: Laurent Huet / travail vocal: Anne Fischer / dramaturge: Olivia Burton / création lumières: Johanny Bert, Gilles Richard /création costumes: Pétronille Salomé / assistante costumes: Carole Vigné / stagiaires costumes: Lune Forestier, Solène Legrand, Marie Oudot / assistante manipulation: Faustine Lancel / construction décor: Fabrice Coudert assisté de Eui-Suk Cho
production: Théâtre de Romette
coproduction: Le Bateau Feu – Scène Nationale Dunkerque (FR), La 2Deuche – Lempdes (FR) partenaires La Cour des Trois Coquins – scène vivante de Clermont-Ferrand (FR), Le Mouffetard – Théâtre des arts de la marionnette à Paris (FR), Le Carreau du Temple à Paris (FR) pour l’accueil studio.
« Charme des chansons (…), poupée effrontée et attachante, originalité du dispositif : l’ensemble suscite une séduction immédiate, grâce à cette exfiltrée d’un cabaret de curiosités, infiniment émouvante, nue et sans apprêt, qu’on a autant envie d’écouter que d’enlacer. » Mariane de Douhet, i/o Gazette
« On sort de là sans le vouloir, avec juste l’envie d’y retourner, parce que la bulle d’HEN est libre et rare, (…) parce que la seule porte de sortie est de s’enfermer dans les cabarets pour chanter les amours rêvées. HEN est un chef d’oeuvre, un coup de talon aiguille dans le vieux monde. » Amélie Blaustein Niddam, Toute La Culture
« Diva des temps modernes, trash autant qu’extravagante, HEN (…) brûle les planches et invite à entrer dans une danse folle, trans, envoûtante. Portée par la voix suave et velours de son créateur Johanny Bert, cette poupée de bois et de chiffon dépasse les genres, transgresse les codes. Attention, coup de coeur ! » Olivier Fregaville-Gratian d’Amore, L’Oeil d’Olivier
« L’histoire se reproduit : c’est cyclique, il faut parfois se battre à nouveau pour des droits que l’on croyait acquis et il faut pourtant aussi avancer, en réclamer d’autres, inventer, proposer. C’est exactement ce que font avec grand art Johanny Bert et son équipe technique et artistique. Sur les brisées du passé, ils chantent. » Hervé Ponse, Les Inrockuptibles
« Sa nouvelle création, HEN, dresse face à l’homophobie la liberté d’un pantin de mousse queer et altersexuel. » Laurent Carpentier, Le Monde
« (L’équipe de HEN) donne vie à un spectacle aussi délirant que magique, aussi percutant qu’intelligent, autant politique que poétique. » Gérald Rossi, L’Humanité
Dans son album Murmures, Tom Bourgeois avait produit une “réinterprétation” du Quatuor à cordes de Ravel. Cette fois, avec Lili, il consacre tout un album à une musicienne et compositrice exceptionnelle, Lili Boulanger. Son œuvre, située entre Ravel et Debussy, fait preuve d’une personnalité unique et singulière : impressionniste, d’inspiration mystique, avec des mélodies nostalgiques, mais contrastées, des choix harmoniques complexes et une tension dramatique parfois impressionnante.
À travers 14 titres, le compositeur et saxophoniste ne se contente pas d’offrir une interprétation sensible de l’œuvre. Il va plus loin en investiguant les échos que cette musique écrite il y a un siècle peut avoir avec sa propre démarche.
Il en résulte une musique destinée à un quartet de jazz qui puise tantôt dans la musique contemporaine, mais sans collage ni couture. De cette alliance naît une voix singulière.
Tom Bourgeois saxophones, compositions & arrangements / Alex Koo, piano / Lennart Heyndels Double Bass / Théo Lanau Drums
invité·es: Veronika Harcsa voix, autrice des textes ‘Hymne au Soleil et Attente’ / Vincent Courtois violoncelle
production: Cathy Lorge – So What? Productions / co- réalisation avec Igloo Records
L’album “Lili” a été enregistré au Jet Studios, Bruxelles par Rudy Coclet / mixage et mastering par Philipp Heck au Bauer Studios, D-Ludwigsburg.
Charles vient fêter son anniversaire seul dans sa cuisine et fait un vœu en soufflant ses bougies. Son souhait : grandir plus vite. Et voilà que Grou, un homme de Cro-Magnon, surgit inopinément du four habillé en peaux de bêtes avec une torche enflammée.
Le dialogue se noue et petit à petit Charles comprend que Grou n’est pas qu’un drôle de sauvage, mais pourrait bien se révéler être un très lointain ancêtre capable de lui faire traverser les Âges. Le spectacle se mue alors en un grand voyage dans le temps qui va leur permettre d’assister à la construction des grandes pyramides, se battre et rimer au temps des chevaliers, partager un mammouth, demander conseil à Diou, ou encore discuter sous une pluie d’obus.
Ainsi de leurs différences va se tisser entre eux un lien nouveau entre amitié et filiation millénaire, leur apprentissage mutuel amènera Charles à une une prise de conscience décisive pour son avenir.
Un plaisir du jeu communicatif, un spectacle inventif, physique, facétieux et bondissant pour une joyeuse marche vers l’Avenir.
jeune publicthéâtre
Théâtre, jeune public
60'
7+
En présentation avec
Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles
écriture: Baptiste Toulemonde / mise en scène et jeu: Arthur Oudar et Baptiste Toulemonde / œil complice: Hugo Giordano / scénographie et costumes: Bertrand Nodet / création lumière: Amélie Géhin / création sonore: Guillaume Vesin / illustrations et graphisme: Sophia Babari / régie: Isabelle Derr
production: Undessix / Effet Mer
soutien: Théâtre Mercelis / Wolubilis / Théâtre de la montage magique / Théâtre Molière – Scène Nationale Archipel de Thau (FR) / Théâtre Le Hublot de Colombes (FR) / Théâtre Albarède – ville de Ganges (FR) / Réseau en scène Languedoc-Roussillon et du Collectif EnJeux / Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Général de la Création Artistique – Direction du Théâtre
« Il est vrai que les comédiens, au demeurant excellents, Baptiste Toulemonde et Arthur Oudar, donnent de leur personne. Truffé d’effets spéciaux, de rebondissements, mais aussi de bons sentiments, « Grou! », bien bluffant, multiplie les prises de risques physiques et tient le spectateur en haleine du début à la fin. »Laurence Bertels, La Libre
« Derrière son allure de sauvage et ses difficultés d’élocution, l’homme de Cro-Magnon, lointain ancêtre de Charles, est toutefois bien plus avisé qu’il n’y paraît. Capable de voyager à travers le temps, il va aider le jeune garçon à grandir, son souhait le plus cher. » Magali Sautreuil, Toute La Culture
« On n’a pas envie que le périple s’arrête, on veut rester dans ce moment de rêve, décollés du réel en phase avec nos imaginaires dont les curseurs sont réglés à fond. On veut garder notre âme d’enfant pour suivre des histoires pareilles, on est touchés, coulés. » RegArts
« Il y a des visites inopportunes comme dirait Copi, et d’autres qui ravissent les enfants perdus.Après Hagrid, E.T ou Peter Pan, l’envahisseur bienveillant est ici un homme de Cro-Magon, un peu jacquouillard dans cette cuisine aménagée qu’il découvre naïvement, un peu renard (la compagnie porte bien son nom) dans l’apprivoisement saint-exupérien qu’entreprend le jeune Charles. » Pierre Lesquelen, Io Gazette
en collaboration avec le Tof Théâtre, avec Brane Solce et Sanja Fidler,
05.06
Cette rencontre est co-organisée par le TOF Théâtre et le Centre Culturel d’Aarschot dans le cadre d’un projet plus large autour des Arts de la marionnette : Puppet Pop Troc.
L’objectif est de rassembler artistes et professionnel.les (programmation, animation, médiation) de la communauté flamande et francophone pour ouvrir le champ de notre imaginaire, découvrir des univers singuliers et partager des pratiques inspirantes.
Au programme :
– Cartographies du secteur de la marionnette et arts associés
– Spectacles
– Présentations de projets
– Try out de spectacles en cours de création
– Moments de convivialité
– Conférence « Activisme et marionnettes » par Brane Solce et Sanja Fidler de Slovénie (en Anglais)
extramarionnette
En présentation avec
le Tof Théâtre, avec le soutien des communautés française et flamande dans le cadre de l'Accord de coopération culturelle Cultuur-Culture.
Une journée organisée dans le cadre de Puppet Pop Troc : un projet de coopération culturelle initié par Le TOF Théâtre et le Centre culturel d’Aarschot, le Festival MAboule et le festival Boze Wolf.
Avec le soutien des Communautés française et flamande dans le cadre de l’Accord de coopération culturelle Cultuur-Culture et du Théâtre 140. En partenariat avec : WBI, WBTD, LE M COLLECTIF, LA MAISON DE LA MARIONNETTE de la FWB, AIRES LIBRES, ASSITEJ BELGIUM, LE CCBW…
Rituel festif et underground RUUPTUUR met en scène quatre danseuses mi- centaures, mi-cyborg, portées par une musique pulsée aux rythmes irrésistibles aux franges de la transe. Danse urbaine, contemporaine, afro-beat : les langages se croisent en un rituel collectif incandescent, joyeux, festif et totalement communicatif.
Ensemble, intrépides et fières, leurs énergies se démultiplient dans une conjuration du renoncement, une invitation rebelle à la rupture, au changement collectif total de notre vécu de l’intime, du poétique, du social et du politique.
La Philantrope · Leo Girones & Mathilde Rivet
La Philantrope, projet hybride queer s’approprie des influences des courants musicaux alternatifs, comme la techno, au service d’une poésie délicatement brutale.
Culture club queer et culture punk, Léo Girones et Mathilde Rivet conjuguent leurs univers en réinventant l’expression des sentiments sombres pour les fondre en une atmosphère de fête. C’est l’odeur du plancher que l’on écrase en club, les souvenirs déformés aux stroboscopes, le cœur qui s’arrache, un toucher qui nous obsède… Un plongeon en atmosphère pour la soirée de clôture de la saison !
Ruuptuur
concept et chorégraphie : Mercedes Dassy / collaboration et interprétation (en alternance): Kim Ceysens, Justine Theizen, Dora Almeleh, Maeva Lassere, Kanessa Aguilar Rodriguez, Mercedes Dassy / dramaturgie et conseil artistique : Sabine Cmelniski / création costumes : Justine Denos / création sonore : Clément Braive / création lumière : Caroline Mathieu / régie lumière : Bryan Albert, Ines Degives, Caroline Mathieu, David Alonso Morillo (en alternance) / collaboration dramaturgique : Maria Kakkogianni / regard extérieur : Judith Williquet
production et diffusion : ama brussels –France Morin, Clara Schmitt, Babacar Ba, Emi Parot, production déléguée : Atelier 210 /
coproduction : Charleroi danse / Théâtre de Liège / Vooruit / La Villette / points communs – nouvelle Scène Nationale de Cergy-Pontoise Val d’Oise (FR) / Les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine Saint-Denis (FR), Coop asbl, Atelier 210
Avec le soutien de laFédération Wallonie-Bruxelles – Service de la création artistique / Wallonie-Bruxelles International / La Bellone / Kunstencentrum Buda / Studio Thor / Shelterprod / Taxshelter.be / ING / Tax-Shelter du Gouvernement Fédéral Belge.
« Ces créatures chimériques se (dé)construisent sous nos yeux, les changements de lumière sont commandés depuis la scène, les effets perdent toute magie par leur mise en place. Loin d’un travail propret où la danse apparaît davantage comme un exercice qu’il s’agit de maîtriser, la partition de Mercedes Dassy embrasse les complexités du réel. » Maxime Grosos, L’Œil d’Olivier
Au cours de 15 séances d’atelier, une dizaine de personnes participeront à la création d’un spectacle marionnettique.
Écriture du texte, construction des marionnettes et réalisation du spectacle la compagnie Alula les accompagnera au travers de toutes les étapes de ce qui sera sans aucun doute une expérience extraordinaire.
extra
Atelier #1
15+
Tarifs
Gratuit sur inscription
Infos, rencontre & inscriptions le 5 octobre – 15:00, lors des 140 Lunes, le weekend d’ouverture du 140
Cette année, le 140 propose deux expériences artistiques et humaines aux schaerbeekoi·es et aux habitant·es des communes voisines.
Calendrier de l’atelier (de 18h à 21h) :
lundi 18 novembre
lundi 2 décembre
lundi 16 décembre
lundi 6 janvier
lundi 20 janvier
lundi 3 février
lundi 17 février
lundi 10 mars
lundi 17 mars
lundi 7 avril
lundi 14 avril
lundi 26 mai
mardi 27 mai
lundi 2 juin
samedi 7 juin à 15h (représentation)
Les jours de week-end de 10h à 13h, en semaine de 18h à 21h
Ce deuxième atelier rassemblera 16 participant·es à partir de janvier 2025. Charlotte Bouriez (comédienne/chanteuse/metteuse en scène) et Sarah Wéry (compositrice/violoncelliste/ directrice d’ensemble) vous proposeront de réunir des objets afin de créer un “cabinet de curiosité” qui vous servira de terrain de jeu(x), de chant et de sons.
Vous rejoindrez des personnes de tous âges (entre 15 ans et l’infini) ayant une pratique du chant, du théâtre ou d’un instrument de musique.
extra
Atelier #2
15+
Tarifs
Gratuit sur inscription
Infos, rencontre & inscriptions le 5 octobre – 15:00, lors des 140 Lunes, le weekend d’ouverture du 140
Cette année, le 140 propose deux expériences artistiques et humaines aux schaerbeekoi·es et aux habitant·es des communes voisines.
Calendrier de l’atelier :
11 et 12 janvier
25 janvier
8 et 22 février
15 et 29 mars
12, 19 et 26 avril
14, 17, 21, 24, 28, 29, 30 mai
7 juin
Les jours de week-end de 10h à 13h, en semaine de 18h à 21h
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