MISE EN SCÈNE : Patrick Masset CHANT : Tamara Geerts MUSIQUE : Laurent Stelleman et Sal La Rocca CIRQUE : César Mispelon, Julius Bitterling, Marieke Thijssen, Wilko Schutz & Joaquin Bravo JEU : Benjamin Vanesch et Eugène Masset CRÉATION LUMIÈRE : Fred Vannes et Emily Brassier RÉGIE SON : Jean-François Lejeune RÉGIE GÉNÉRALE ET RÉGIE LUMIÈRE : Adrien De Reusme
« FLUIDE, COMPOSITE, FAISANT RÉSONNER DES AIRS CONNUS ET APPARAÎTRE DES MAGES ONIRIQUES, LA PIÈCE DONNE À SENTIR LE CHANGEMENT PERPÉTUEL COMME UNE NÉCESSITÉ VITALE »
AKAR est une création artistique musicale et visuelle en collaboration avec les artistes suivants : Shama Bongo (Chanteuse, productrice et manager de projets), Sarah Carlier (Auteure-Compositrice-Interprète, Musicienne, Productrice musicale), Rokia Bamba (DJ, Créatrice sonore), BenRichard (VJ, DJ, Sound designer).
Le projet est né à Bruxelles lors du festival Afropolitan en juillet 2021, suite à une » carte blanche » offerte par BOZAR. Et ce qui devait être un événement ponctuel est devenu quelque chose de plus grand. Chaque artiste d’AKAR a un lien particulier et très personnel avec ses origines mais aussi un lien avec l’Afrique et la Musique. AKAR est composé de français, de belges, de blancs, de noirs… Un homme et trois femmes. AKAR c’est l’Europe, AKAR c’est l’Afrique, AKAR c’est la génération X et Y.
Shama Bongo surfe, jongle, transporte avec sa voix et la parfaite maîtrise qu’elle en a.
Sarah Carlier voyage entre sa voix, sa guitare et son ordinateur, et compose avec des mots et des notes.
Rokia Bamba joue avec les sons du quotidien, le bruit ambiant de la ville ou de la nature, en tant que créatrice sonore ou la chanson du moment en tant que DJ.
Ben Richard défie par sa façon de jouer avec les sens, ce que nous entendons, ce que nous voyons, c’est pour lui un terrain de jeu unique et indissociable.
Aussi impromptue qu’ait été leur rencontre, elle leur apparaît aujourd’hui comme une évidence. Ils utilisent tous des dialectes différents, mais parlent la même langue : la musique.
À une époque où le dialogue entre les cultures et les différences devient de moins en moins évident, naturel, le message qu’ils veulent faire passer est qu’au-delà de toutes les choses qui les rendent différents, il y a toujours quelque chose qui les rapproche, quelque chose dans l’autre qui leur ressemble, qui leur permet de se comprendre.
Fin 2021, AKAR entre en résidence au Musée belge d’Afrique. Dans ce cadre, le collectif mène des recherches dans les archives sonores, vidéo et photographiques. L’idée étant de jouer, transformer, assembler, raconter des histoires et de les utiliser comme fragments dans le spectacle.
Le nom AKAR englobe toute cette humanité et a donc plusieurs significations, dans plusieurs langues et même sur plusieurs continents… Il signifie RACINE en soudanais, malais et indonésien, VOLONTE en hongrois, FLUX en turc, et DERANGER, AGITER et RENDRE TABOU en hébreu.
ÉCRITURE E T INTERPRÉTATION : Shama Bongo ÉCRITURE ET COMPOSITION : Sarah Carlier CRÉATION SONORE E T DJ : Rokia Bamba CRÉATION SONORE, VJ E T DJ : Ben Richard
Pour des raisons de santé, l’interprète du spectacle Daraya ne pourra pas assurer les représentations du 25/01 et du 26/01 au 140.
Le spectacle Daraya est reporté à la saison 2024-2025, nous vous communiquerons les nouvelles dates lorsqu’elles seront connues. Vos tickets restent valides pour les nouvelles dates.
Plusieurs options s’offrent à vous:
– attendre l’annonce des nouvelles dates de Daraya la saison prochaine
– faire une demande d’échange de vos tickets pour un autre spectacle de la saison 2023-2024 en envoyant un mail à l’adresse en indiquant votre nom, numero de commande (commence par ORD) et le spectacle pour lequel vous voulez échanger
– faire une demande de remboursement en envoyant un mail à l’adresse en indiquant votre nom, numéro de commande (commence par ORD), ainsi que vos coordonnées bancaires. Le remboursement des places n’est valable que pour les achat hors PASS 4, 6 ou 10.
D’APRÈS LESPASSEURSDELIVRESDEDARAYA D E DELPHINE MINOUI – ED ITI ONS DU SEUIL TEXTE : Pierre Richards et Philippe Léonard I NTERPRÉTATION : Philippe Léonard S CÉNOGRAPHIE E T COSTUMES : Catherine Somers MUSIQUE : Philippe Morino et Juliette Richards RÉGIE : Luc Jouniaux et Karl Autrique LECTURE VOIX-OFF : Rania Ameen Ghanoun VIDÉO : Arnaud Van Hammée PHOTO : Philippe Jolet GRAPHISME : Karl Autrique AFFICHE ET ILLUSTRATIONS : Jean-Claude Salémi TRADUCTION ET RÉ GIE SOUS-TITRAG E : Nasra Ghiath DIFFUSION : Mademoiselle Jeanne
Depuis six ans, le Grand Studio et Le 140, vous proposent trois esquisses dansées. Cette année, nous nous associons à Pro Helvetia et L’Abri pour vous faire découvrir la richesse de la danse suisse !
Le principe des esquisses : la pièce ne peut excéder vingt minutes, les accessoires et décors ne sont permis que s’ils entrent dans une valise et le spectacle ne peut faire recours à plus de trois intervenant·es.
Avec : VITAMINA (BE) Valerie Reding (CH) Lorena Stadelmann (CH)
FR Les incroyables Tiger Lillies, célèbre groupe londo- nien de cabaret gypsy punk, présentent un concert inspiré du chef-d’œuvre anti-guerre, The Last Days of Mankind, de Karl Kraus. Cette satire met en lumière une société qui s’autodétruit et entre en résonance avec l’actualité de la guerre en Ukraine. Le groupe, connu pour son style unique, sa créativité et la personnalité électrique de Martyn Jacques, promet un spectacle époustouflant.
À voir absolument !
En anglais.
EN The Tiger Lillies, the famous London punk-gypsy caba- ret band, present a new concert inspired by World War I anti-war masterpiece The Last Days of Mankind by Karl Kraus. This satire highlights a self-destructive society, and explores themes still relevant today, especially in the light of the war in Ukraine. The band, known for their unique style and creativity, promises a stunning show.
A must-see!
In English.
ENGLISH / LONDON / CABARET / PUNK / PACIFISME / AWARD-WINNING SHOW
CHANT, ACCORDÉON, ORGUE, PIANO, G U ITAR E E T UKULELE : Martyn Jacques CONTREBASSE, BAG LAMAS, PERCUSSIONS, CHOEURS, SCI E MUSICALE, GUIMBARDE : Adrian Stout CRÉATION DE L’ALBUM : Mark Holthusen et Frederic Domont TOUTES LES CHANSONS SONT ÉCRITES PAR Martyn Jacques sauf “Vienna My Heart” et “Caviar” COMPOSITION Martyn Jacques PAROLES : de Karl Kraus TRADUCTION : Patrick Healy PRODUCTION : Martyna Lach
L’étrange et incroyable histoire de Télémaque nous invite à découvrir une vision étonnamment différente des aventures d’Ulysse, la vision d’un enfant. Il nous entraine dans une aventure fantastique sur les traces de son père, à la recherche de sa propre histoire.
Seule sur un petit tapis blanc, Ninon Perez nous ensorcelle et est d’une virtuosité époustouflante ! Prix de la ville de Huy et Prix de l’interprétation pour Ninon Perez aux Rencontres de Théâtre Jeune Public en août 2022.
JEUNE PUBLIC / RELECTURE DE MYTHE / SEULE EN SCÈNE
MISE EN SCÈNE : Felix Ensslin JEU : Ninon Perez ACCESSOIRES : Céline Leuchter COSTUME : Petra Kather PÉDAGOGIE D E THÉÂTRE : Dario Koster GRAPHIQUE : Nicolas Zupfer ASSISTANCE À L A PRODUCTION : Roger Hilgers DRAMATURGIE : Galia De Backer TEXTE : Felix Ensslin avec Galia De Backer et Ninon Perez DIRECTION ARTISTIQUE D’AGORA : Kurt Pothen
Post-scriptum est une lecture/performance dans laquelle Georges Appaix explore son parcours de chorégraphe. Il y évoque les lieux qui ont marqué sa carrière et les rencontres qui ont nourri sa créativité. Il nous livre tant les difficultés que les joies.
Au cours de ses quarante années de création, il a développé un abécédaire chorégraphique, de A jusqu’à XYZ, son ultime création.
Post-scriptum est une occasion unique de découvrir l’univers d’un artiste majeur de la scène chorégraphique contemporaine, dans une forme intimiste, ludique et poétique.
La quarantaine galopante, un père s’enferme aux toilettes pour échapper à son ado (et à son couple) en crise.
Un spectacle sur l’amour familial où les sentiments sont à vif, qui questionne la violence, notamment produite par l’école et la famille, mais qui n’est jamais dénué d’espérance, car il est porté par une plume drôle et pleine de tendresse.
Une ode à l’amour parental teintée de dérision et d’espoir, servie par la mise en scène efficace de Denis Laujol et l’éblouissante interprétation de Thierry Hellin, seul en scène !
FAMILLE / ADO / CRISE DE LA QUARANTAINE / COUPLE / ÉMANCIPATION / ÉDUCATION / AMOUR FAMILIAL
DE : Jérôme Colin ADAPTATION ET MISE EN SCÈNE : Denis Laujol AVEC : Thierry Hellin COLLABORATION ARTISTIQUE : Julien Jaillot SCÉNOGRAPHIE : Denis Laujol CRÉATION LUMIÈRES : Xavier Lauwers CRÉATION VIDÉO : Lionel Ravira CRÉATION SONORE : Marc Doutrepont COSTUMES : Carine Duarte
FR Après une longue collaboration avec la compagnie Peeping Tom, Hunmok Jung crée Yaras. À l’ère de l’in- telligence artificielle, Yaras questionne avec inquiétude la raison d’être de l’humanité.
Présenté par le Centre Culturel Coréen de Bruxelles
KO 피핑톰 무용단과의 오랜 협업을 해온 정훈목 안무가 가 신작<Yaras (야라스)>를 선보입니다. <Yaras (야라 스)>는 인공지능과 인류의 미래에 관한 이야기입니 다. <Yaras (야라스)>는 인공지능 시대에 인류의 목적 에 대해 고민하며 질문을 던집니다.
한국문화와 함께하 는 특별한 저녁을 기대해주세요.
ENYaras is a story about artificial intelligence and the future of humanity. Yaras asks questions about the purpose of humanity in the age of artificial intelligence.
Presented by the Korean Cultural Center of Brussels
TRANSHUMANISME / FIN DE L’HUMANITÉ / DANSE
1h
Tout public
En présentation avec
Présenté par le Centre Culturel Coréen de Bruxelles
CHORÉGRAPHIE : Hunmok Jung S CÉNOGRAPHIE : Ll Kyoung Jo CRÉATION LUMIÈRE : Jaeeok Kim RÉGIE GÉNÉRALE : In-sung Kim PRODUCTION : Sin Ae Park ASSISTANAT PRODUCTION : Heeji Seo DANSE : Mijeong Kwon, Minuk Choi, Somi Bae, Dajeong Yu, Seungkwan Yang, Myungin Yoon , Jiyoon Lee, Jin Wook Han, Jeong Bin Seo
Première partie : Veil And Quintessence – Gábor Gadó, Laurent Blondiau et Sarah Klenes.
Musique de chambre pour voix, guitare électrique, trompette et flugelhorn, cet album d’une beauté renversante transcende l’environnement contemporain abstrait de la musique pour revenir à l’essentiel.
Veil And Quintessence sublime le talent de deux génies de la musique; le guitariste Gábor Gadó et le trompettiste Laurent Blondiau. Accompagnés par la voix subtile de Sarah Klenes, ils nous offrent une délicate grandeur au 140 !
Deuxième partie : Falana, là où tout commence – Fatou Traoré
Falana, là où tout commence, premier concert de Fatou Traoré sur la scène du 140. Falana est un voyage intérieur, bercé par des mélodies africaines et occidentales. Une harmonie céleste et pacifique, une sorte de transe. Accompagnée de Dorian Baste,
Vincent Noiret, Élie Rabinovitch et Sylvain Debiaisieux, Fatou Traoré nous enrobe de douceur. Un beau moment de délicatesse.
La meringue du souterrain est un écrin pour que l’art n’oublie pas l’idiotie ! Portée par l’hypnotique Sophie Lenoir et le prodigieux Stéphane Roger, cette nouvelle création du Zerep est un traquenard esthétique et psychique qui n’apportera aucune solution. Condensé de déconnade survoltée dans un décorum de freak show, il y est question de l’art scénique dans ce qu’il a de plus brut et de plus libre.
C’est un théâtre de pirates, de désobéissants, un théâtre sauvage.
C’est aussi l’histoire d’un canard qui pète, de Pinocchio, de Sherlock Holmes, de Rox et Rouky, à la sauce Monthy Python!
Avec Charleroi Danse !
THÉÂTRE SAUVAGE / FORME BRUTE / PERFORMANCE VISUELLE
CONCEPTION, SCÉNOGRAPHIE ET TEXTES : Sophie Perez AVEC : Sophie Lenoir, Stéphane Roger et les apparitions de Adrien Castillo et Baptiste De Laubier ASSISTANAT CONCEPTION ET SCÉNOGRAPHIE : Baptiste De Laubier INSPIRATIONS : Sophie Lenoir, Stéphane Roger et Pacôme Thiellement COSTUMES : Sophie Perez et Corine Petitpierre MUSIQUE : Les DJ Bugiardo CRÉATION LUMIÈRE : Fabrice Combier CRÉATION SON : Félix Perdreau RÉGIE GENERALE : Léo Garnier RÉGIE PLATEAU ET ASSISTANAT SCÉNOGRAPHIE : Adrien Castillo SCULPTURES : Dan Mestanza ACCESSOIRES E T SCULPTURES : Adrien Castillo, Anne Tesson et Baptiste De Laubier ADMINISTRATION ET PRODUCTION : Julie Pagnier et Anael Lallouette-Zylbersztain
Thomas Lebrun ne lit pas Marguerite Duras, il l’écoute dans des archives radiophoniques, comme une musique inspirante. L’envahissement de l’être est un solo/duo bouleversant, une rencontre entre deux artistes profondément sensibles, exigeants et passion- nés. Des êtres férus de justice qui mènent leur art avec sincérité.
Thomas danse seul avec Marguerite et nous offre un instant de beauté unique, une leçon d’humilité.
• En prélude au spectacle de Thomas Lebrun, L’envahissement de l’être (danser avec Duras), Veronic Thirionet vous propose d’aller à la rencontre de Marguerite Duras et de son travail.
À 18h45. Gratuit, réservation obligatoire.
DURAS MON AMOUR / DANSER LA LITTÉRATURE / COLONISATION / VIE INTIME / ÉLOGE DE LA LENTEUR
CONCEPTION, CHORÉGRAPHIE ET INTERPRÉTATION : Thomas Lebrun TEXTES : Marguerite Duras CRÉATION LUMIÈRES : Françoise Michel CRÉATION SON : Maxime Fabre CRÉATION COSTUMES : Kite Vollard RÉGIE GÉNÉRALE : Gérald Bouvet MUSIQUES : Carlos D’Alessio, Georges Delerue, Giovanni Fusco, Fred Gouin, Jeanne Moreau, Gen-ichiro Murakami, Maurizio Pollini, Franz Schubert, Toshiya Sukegawa, The Who et Gabriel Yared
« THOMAS LEBRUN, ESPIÈGLE, JOUEUR, FAUSSEMENT SÉRIEUX, TUTOIE DURAS, BRÛLE LES PLANCHES ET S’EXPOSE DANS CE PAS DE DEUX ENTRE GESTES ET MOTS. SUBLIME ! »
Romans, récits, scénarios, théâtre, cinéma… Duras a embrassé toutes les formes de l’écrit, du récit et de la narration sans beaucoup de concessions, avec ses engagements et son lot de controverses. Ce qu’il reste aujourd’hui, c’est une œuvre qui aura marqué le 20e siècle littéraire. Quarante ans à écrire sur l’amour, la vie, la mort, la famille, l’Asie, la mer, la forêt, l’écriture et … elle-même.
En prélude au spectacle de Thomas Lebrun, L’envahissement de l’être (danser avec Duras), Le 140 vous propose d’aller à la rencontre de Marguerite Duras et de son travail.
Dans Au milieu du désordre, Pierre Meunier parle de pierres, de ressorts, de tas, de chutes, de mouvements et de l’invisible écroulement en cours. Autant de questions et d’expériences autour de l’idée du temps, si peu valorisé et pourtant si nécessaire pour percevoir autrement.
Nous sommes invité·es à prendre du recul, à nous étonner, à nous émouvoir et à réfléchir à notre propre existence.
Un bain de jouvence pour le regard et l’esprit en compagnie de ce rêveur-alchimiste.
THÉÂTRE D’OBJET / ABSURDE / LAISSEZ-VOUS SURPRENDRE / RESSORT ET CAILLOUX / PHILOSOPHIE DU TAS / SEUL EN SCÈNE
TEXTE, MISE EN SCÈNE ET JEU : Pierre Meunier ADMINISTRATION : Claudine Bocher et Caroline Tigeot DIFFUSION : Céline Aguillon LE TEXTE EST PUBLIÉ PAR les éditions Les Solitaires Intempestifs, sous le titre Au Milieu du désordre (2008). Le livre comprend également le DVD du film de Pierre Meunier Ça continue
En accédant à la collection de guitares électriques du Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris, Seb Martel (InFiné records) a eu la possibilité de se plonger dans les sonorités d’autres époques et d’autres continents.
Il est l’un des guitaristes les plus passionnants de la scène hexagonale. Saturn 63, ouvertement porté sur l’expérimentation, est un album entièrement pensé à la guitare.
Un délice.
Deuxième partie : Cindy Pooch présente Issemou
Cindy Pooch dévoile une musique hybride, mêlant folk, gospel et chants polyphoniques. Sa voix unique oscille entre intensité émotionnelle et douceur mélodique.
Cette artiste franco-camerounaise à la personnalité flamboyante est à suivre absolument ! En plus d’être sublime, talentueuse et engagée, sa musique est un véritable voyage, offrant un regard singulier sur le monde et une ode à la diversité.
Répétez après moi … Cindy Pooch !
GUITARES DE LÉGENDE / LABEL INFINÉ / DÉCOUVERTE / GUITARISTE DE FEU / CHANSON HYBRIDE / LABEL INFINÉ / DÉCOUVERTE
« NOUVELLE SIGNATURE DU LABEL INFINÉ, VÉRITABLEDÉNICHEURDE TALENTS, ELLE REJOINT RONE, LÉONIE PERNET OU ENCORE SEB MARTEL, AVEC LEQUEL ELLE A ÉLABORÉ CETTE PREMIÈRE LIVRAISON. ENVOÛTANT ET LUMINEUX. »
Une soirée spéciale pour les 25 ans de l’émissionLe Monde est un Village
Pour les 25 ans de l’émission ‘Le Monde est un Village’ de Didier Mélon, il fallait évidemment un concert, mais pas n’importe quel concert ! Trente artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles vont se livrer pour l’occasion à un jeu original de reprises aux saveurs belges. Une soirée mémorable dans une formule tout à fait inédite, voire décalée… Non peut-être !
fr Treize performeur·euses dansent avec frénésie et chantent à tue-tête, comme en extase. Iels se déplacent comme un seul corps dans des scènes qui rappellent tantôt la vie dans la rue, tantôt une procession. Par moments, l’un·e ou l’autre s’échappe pour ensuite, tendrement, réintégrer le groupe. Le chorégraphe Idio Chichava s’inspire des mouvements migratoires et des rituels de danse du peuple Makondé, vivant principalement au Mozambique et dans les pays voisins. Selon lui, seuls les corps qui dansent et chantent simultanément s’expriment pleinement et peuvent exister en synergie avec les autres. Vagabundus dépeint la vie comme un rassemblement et un regroupement constants et la migration comme un voyage qui pourrait être émotionnel, spirituel et collectif. Chansons mozambicaines traditionnelles et contemporaines sont chantées et superposées à du gospel et des motifs baroques. Avec une scénographie épurée, entièrement portée par l’impact explosif de la danse et des voix, Chichava explore l’expressivité du corps et célèbre la vie en nous renvoyant vers notre véritable identité. Un spectacle éblouissant qui souligne la capacité de la communauté à renforcer notre identité, une performance collective bouleversante qui déploie le chant et la danse comme moyen de résistance et comme rituel de survie.
en Thirteen performers dance and sing their hearts out, as if in ecstasy. They move as one global body through scenes reminiscent of street life, at times evoking a procession. Periodically, one will escape the dance only to be lovingly reunited with the group. They sing traditional and contemporary Mozambican songs, gospel and baroque motifs. Choreographer Idio Chichava found inspiration in the migratory movements of groups of people and the dance rituals of the Makonde people living in Mozambique and neighbouring countries. He believes only bodies that dance and sing simultaneously express themselves fully and exist in synergy with others. Vagabundus depicts life as a constant coming together and being together in a group, and migration as a possibly emotional, spiritual and collective journey. Chichava explores the expressiveness of the body and points the way to our true selves celebrating life with a pared-down stage design carried entirely by the explosive impact of dance and voices. This dazzling dance production invites us to recognise that our identity is strengthened by the community, through an overwhelming group performance showcasing song and dance as a means of resistance and a ritual of survival.
Répercussion-ID est un spectacle pluridisciplinaire qui mêle hip-hop et danse contemporaine, jazz et musique électronique, chant et performance théâtrale. Le spec- tacle parle d’identité en explorant différentes formes de vie, du végétal à l’humain en passant par l’animal.
Servi par les compositions éblouissantes de Michel Debrulle et les chorégraphies sculptées de David Hernandez, nous assistons à la crème de la crème du jazz et de la danse belge !
CHORÉGRAPHIE E T MISE EN SCÈNE : David Hernandez DANSE : Emilie Jacomet, Colas Lucot, Mickaël Florestan et Sara Tan TEXTE E T CHANT : Farida Boujraf BATTERIE ET PERCUSSION : Michel Debrulle BASSE ET É LECTRO : Louis Frères BATTERIE ET PERCUSSION : Stephan Pougin SON – LUMIÈRE : Vincent De Bast et Wenceslas Kabore COLLABORATION DRAMATURGIQUE : Thierry Devillers CONCEPTION : Michel Debrulle et Myriam Mollet
Nous ouvrons une liste d’attente sur place à partir de 19h.
FR Avec humour et dérision, la chorégraphe italienne Silvia Gribaudi s’empare des imperfections humaines pour les ériger en art, dépassant les clichés et les apparences. En s’inspirant de la sculpture Les Trois Grâces d’Antonio Canova, Silvia et trois beautés masculines cherchent avec malice les nouveaux sens du mot « Grâce ». Ici, la joie devient le nouveau canon de beauté. Un spectacle hilarant interprété par des danseur·euses-clowns virtuoses ! Un zeste de bonheur !
🎶 RESTEZ FAIRE LA FÊTE AVEC NOUS ! Pour clôturer dans la joie qui nous a accompagnée tout au long de la saison, Rokia Bamba viendra pour un DJ-set à partir de 21h30. Et tout au long de la soirée, foodtruck végétarien SINstreefood pour vous régaler.
EN With humor and derision, Italian choreographer Silvia Gribaudi takes human imperfections and turns them into art, overcoming clichés and appearances. Inspired by Antonio Canova’s sculpture The Three Graces, Silvia and three male beauties mischievously search for new meanings of the word “grace.” A hilarious show performed by virtuoso clown dancers! A zest of joy to close the season!
CHORÉGRAPHIE : Silvia Gribaudi DRAMATURGIE : Silvia Gribaudi et Matteo Maffesanti AVE C : Silvia Gribaudi, Siro Guglielmi, Matteo Marchesi et Andrea Rampazzo CRÉATION LUMIÈRE : Antonio Rinaldi DIRECTION TECHNIQUE : Leonardo Benetollo COSTUMES : Elena Rossi
… c’est « payer pour baiser » mais c’est aussi en payer le prix moral, économique et social. C’est payer le prix fort de cette pratique vue comme coupable.
Le collectif La Brute poursuit ses recherches au cœur des lieux de l’humanité que la société préfère ne pas questionner. Fruit d’un travail d’investigation de terrain et d’écriture de plateau mené avec sept lauréats de l’ESACT, le spectacle aborde différentes réalités de la prostitution (ou plutôt deS prostitutionS).
Après de multiples rencontres auprès de travailleur.se.s du sexe, de policiers de la brigade des mœurs, de clients, d’associations de défense des travailleur.se.s du sexe et d’une de leur porte-parole, Sonia Verstappen, qui accompagne le projet depuis ses débuts, les actrices et acteurs de ce spectacle incarnent la parole de ces femmes que la société veut rarement entendre. Les travailleur.se.s du sexe sont ici sur scène et nous parlent de leur métier, de leur vie, d’elles, de nous.
Elles témoignent de la précarité dans laquelle certaines sont maintenues, des discriminations et des stigmates qu’elles subissent en tant que femmes, en tant que putes, en tant qu’étrangères. Elles, qui connaissent les hontes et les secrets de beaucoup d’hommes. Qui écoutent, accueillent et soignent les corps.
Elles parlent de leurs conditions de travail dans une société qui refuse de leur reconnaître des droits. Des pratiques qui se diversifient. Elles rappellent, aujourd’hui encore, que vouloir abolir la prostitution ne mène qu’à aggraver les conditions dans lesquelles elle s’exerce et à augmenter les violences qui leur sont faites. Elles convoquent l’histoire de nombreuses femmes qui, depuis des siècles, se sont un jour prostituées pour survivre ou pour s’émanciper. De femmes – courtisanes, blanchisseuses, gantières, danseuses, strip-teaseuses, putes, etc. – qui, hier comme aujourd’hui, ont été punies pour avoir transgressé l’ordre patriarcal, pour avoir gagné de l’indépendance. Car le stigmate de putain frappe toutes les femmes, comme un coup de fouet, il est un châtiment, il menace, il contrôle. La lutte pour les droits de toutes les femmes ne commence-t-elle pas par la lutte avec les putes et pour les droits des putes ? Le spectacle espère réveiller des alliances en donnant la parole à ces femmes qui réclament qu’on cessent de les traiter comme des victimes ou des criminelles pour enfin les entendre et les regarder comme des personnes.
Depuis la liberté qu’elles incarnent et que la société ne cesse de vouloir contrôler, les putes nous interpellent : qu’est-ce que le sexe ? Quelle place lui donne-t-on dans nos vies ? Dans nos sociétés ? Que protège-t-on en refusant que ce soit un travail ? N’est-il légitime que dans le couple ? Que par amour ? Si on ne le reconnaît pas comme un service, alors le sexe c’est quoi ?
« Dans le combat contre la prostitution, il y a un combat pour le contrôle de la sexualité des hommes comme des femmes. On est l’épouvantail. Grâce à nous, on dit aux autres femmes qui voudraient se libérer : « Attention ! Si vous devenez vraiment une pute, on va vous démolir ». Et on dit aux hommes, les femmes que vous avez payées c’est dans la boue que vous allez devoir les baiser. Que tirer un coup quand ils en ont envie ne soit pas une chose très agréable ni facile. Qu’il jouisse en payant s’il veut mais alors qu’il côtoie la pourriture, la honte et la misère. C’est aussi une manière de dire « Attention, il y a les mères et il y a les putes. »
Sonia Verstappen
La totalité des revenus de la billetterie sera reversée à UTSOPI (Union des Travailleu(r)ses du Sexe Organisé(e)s Pour l’Indépendance)
Entrée gratuite pour le public scolaire et associatif, sur réservation auprès d’Eugénie : / 02 733 50 19 ou via la commune, pour tout autre public : en cliquant ici
Une rencontre est prévue avec l’équipe de La Brute et avec Utsopi après la représentation.
Prostitutions / Travailleur.euse.s du sexe / Casser les préjugés
En présentation avec
Le SAME Festival et l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes
Mise en scène : Jérôme de Falloise, Raven Ruëll, Anne-Sophie Sterck
Ecriture & jeu : Jérôme De Falloise, Raven Ruëll, Marie Devroux, Martin Panel, Ninuccia Berthet, Julie Peyrat, Gabriel Bideau, Marion Gabelle, Ninon Borsei, Martin Rouet
Co-écriture : Anne-Sophie Sterck
Accompagnement dramaturgique : Sonia Verstappen
Création son, musique live : Wim Lots
Création lumière, régie générale : Nicolas Marty
Régie lumière en alternance : Nicolas Marty / Lou Van Egmond / Julien Vernay
Régie son en alternance : Julien Courroye / Célia Naver
Costumes / Scénographie : Marie Szersnovicz
Assistante à la mise en scène : Coline Fouquet
Chargées de production et de diffusion : Catherine Hance, Aurélie Curti & Laetitia Noldé
Production : Wirikuta ASBL
Coproduction : La Brute ASBL, Théâtre National Wallonie-Bruxelles, Théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine, La Coop ASBL, Shelter Prod.
Avec l’aide du taxshelter.be, ING & tax-shelter du Gouvernement fédéral belge
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Loterie Nationale, de la COCOF, de la SACD, de la Maison de la culture de Tournai – Maison de Création et l’Ancre – Théâtre Royal et de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes et de la secrétaire d’État à l’Egalité des genres, à l’Egalité des chances et à la Diversité.
La Brute a reçu le prix Maeterlinck 2020 du meilleur auteur/de la meilleure autrice pour le spectacle Paying for it.
Paying for it est édité aux Editions esse que.
Ces représentations ont été rendues possibles grâce à une subvention de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes et de la secrétaire d’État à l’Égalité des genres, à l’Égalité des chances et à la Diversité.
Soyez sûr.e.s de faire plaisir avec ce super bon cadeau !
Offrez le concert des Dakh Daughters « Ukraine Fire », qui aura lieu le 1er février 2023. Une soirée d’exception, avec deux coupes de bulles offertes.
Le tout pour 35€ !
En 2016, nous découvrions au 140 les punkettes-clowns ukrainiennes au 140 avec leur flamboyant Freak Cabaret. Deux semaines après le 24 février 2022, jour d’invasion russe en Ukraine, les Dakh Daughters et leur metteur en scène et Vlad Troitskyi décident de rejoindre la France, là où quelques amis peuvent les accueillir en compagnie de leurs enfants et de leurs mamans. Pères, parents plus éloignés restent, eux, en Ukraine. Du Freak Cabaret, concentré festif, ardent et féroce de femmes qui revendiquaient leur puissance et leur liberté, elles y puisent aujourd’hui une force de résistance, même si la belle énergie du départ s’est déplacée, brisée par la guerre.
Mais leur nécessité de dire le monde est toujours vivante et répond désormais à l’urgence de témoigner de la réalité par l’art.
Aux fronts de guerre il faut opposer le front de l’art. Elles adapteront ce spectacle aux réalités politiques, pratiquement un an après l’invasion russe.
Le nouveau livre de Stefan Liberski, Teo malgré se présente sous la forme d’un monologue chapitré, à la fois drôle et inquiétant. Il est tenu par un homme sans âge, Teo Cappucci, qui vit enfermé dans un immense appartement, autrefois un grand cabinet d’avocats, déserté depuis des lustres. Les murs sont recouverts de codes civils et de recueils de jurisprudences. La Loi. Il semble que nous soyons à Rome. Les souvenirs embués de Teo s’entrechoquent, se contredisent. Ils mélangent ceux qu’il a d’une mère, d’une sœur, d’une gouvernante. Ils remontent parfois à l’enfance, pour aussitôt en redescendre, selon les caprices et les « méandres », comme Teo le constate lui-même, d’une mémoire altérée et de rots inopinés de phrases issues d’une vie fantasmée, désirée, banale, une vie qui ne sera jamais celle du héros. Les personnages qu’il évoque disparaissent un à un, sans qu’on sache bien ce qui leur arrive. Et le mystère plane tout au long de ce récit acéré, beckettien, tragi-comique.
Sur scène, Achille Ridolfi lira des extraits du roman. La table, la chaise et le verre d’eau !
Oui mais… sur sa gauche, plus éloignée, il y a une autre table, perpendiculaire au public, où se trouve un rétroprojecteur. Une chaise, là aussi, où prend place le marionnettiste qui manipule des petits objets, des photos, des dessins fixés sur de fines baguettes. Ceux-ci sont projetés sur le grand écran, derrière, au-dessus. À droite de la scène : une autre table perpendiculaire à la scène. De là, le musicien lance avec son matériel des séquences préenregistrées de sons illustratifs ou joue en live des nappes de musique électroniques. Il s’agit donc d’une lecture accompagnée d’images captées sur le moment et de sons diffusés sur le moment. Ce qui donne à cette lecture-spectacle la dimension d’une performance où trois personnes interagissent.
Parution de Teo malgré lui aux éditions ONLIT à l’automne 2022
Books on stage / Le 140 est littérature / Marionnettes
Dans le cadre du spectacle Trio (for the beauty of it), le 140 propose un atelier de danse afro avec Ordinateur !
Trio est un spectacle de danse réunissant 3 danses contestataires sur une seule scène : celle du 140, les 8 et 9 novembre.
Cet atelier donne un aperçu de l’univers du Coupé-Décalé : à côté d’éléments d’autres styles de danse africaine, on y danse les choses du quotidien : boxer, jouer au football, manger, dépenser de l’argent et surtout : s’amuser et montrer ce que l’on a !
Qui est ORDINATEUR ?
Il danse le Coupé-Décalé depuis son enfance. Grâce à son originalité et à une technique de pieds étonnante qui lui vaut le surnom de « Magic feet », il est rapidement devenu l’une des personnalités les plus marquantes de la scène.
Il s’est produit pour de nombreux musiciens de renom tels que Kedjevera, Eric Olomide et DJ Arafat et a reçu le prix du meilleur danseur aux Oscars de la musique ivoirienne en 2016.
Cet atelier est gratuit.
Quand ? le samedi 22 octobre de 14 à 16h
Où ? Sur la scène du 140 ( 140, avenue Eugène Plasky, 1030 Bruxelles)
Pour qui ? Toutes et tous en tenue décontractée, dans la limite des places disponibles (25), réservation indispensable.
Envie d’en savoir plus sur le spectacle lié à ce workshop?
Dans le cadre du spectacle « Trio, for the beauty of it », le 140 vous invite à un atelier danse coupé-décalé avec Ordinateur, danseur du spectacle « Trio »
Le van fera escale les 23, 24 et 25 septembre en centre-ville et les 27 et 28 septembre à Schaerbeek.
Et si vous voulez venir écouter les chansons, la compagnie sera sur scène le 1er octobre à la Tour à Plomb et le 2 octobre au 140.
Enregistrez vos chansons d’amour : collecte des chansons
Au volant de leur camping-car, la Compagnie Action Hero a traversé l’Europe pour demander à des inconnu·es de monter à bord et de leur chanter une chanson d’amour. Leur chansonnier est aujourd’hui riche de plus de 1000 enregistrements issus de 33 pays différents.
Oh Europa est un véritable travail d’amour : un projet qui s’étend sur tout un continent et qui cherche à réimaginer la façon dont nous pensons à l’Europe, et comment nous continuons à partager cet espace ensemble.
Avec le festival Nuit Blanche, nous avons demandé à James et Gemma de faire escale à Bruxelles, capitale de l’Europe, pour enregistrer vos chansons.
Rendez-vous pour la collecte schaerbeekoise :
Au Parc Josaphat, sur l’esplanade entre La Laiterie et le Kiosque à musique mardi 27 septembre (jour férié) et mercredi 28 septembre de 14h à 18h.
Les passant·e·s seront invité·e·s à entrer dans le van pour enregistrer leur chanson d’amour préférée (toutes les langues sont évidemment les bienvenues), aucun pré-requis en matière de chant nécessaire !
Le 2 octobre à 15h, sur la scène du 140, le public est invité à venir écouter (grâce à des casques) les chansons enregistrées lors de ces deux après-midi.
De et avec : Gemma Paintin & James Stenhouse Dramaturge : David Williams Administration : Sarah Warden Coproduction : Farnham Maltings, Transform, Matchbox et Farnham Maltings Soutien : British Council, European Cultural Foundation and Watershed’s Pervasive Media Studio
Développé grâce au support de Vooruit, Latitudes Contemporaines, ANTI, Ördögkatlan Festival, Interdisciplinarte, Romanian Association for the Performing Arts, Grand Theatre Groningen and Bristol Old Vic Ferment.
Avec les fonds de Arts Council England.
La collection - 18 et 20 avril 20h30 + 19 avril 19h
Les recettes fétiches de 4 participant·e·s au projet « Joyeux Festins » seront cuisinées avant ou après les représentations des spectacles suivant :
Trio (for the beauty of it) – Monika Gintersdorfer – Carlos Martinez – Alex Mugler – Ordinateur – Timor Litzenberger, mardi 8 novembre / 20h30 et mercredi 9 novembre octobre / 19h
——–> Repas : Moussaka <——-
Résistances poétiques – Cyril Dion et Sébastien Hoog, jeudi 17 novembre / 20h
——–> Repas : Tortilla et salade <——-
Dracula – Yngvild Apseli / Plexus Polaire, jeudi 9 et vendredi 10 février / 20h30
——–> Repas : Couscous végétarien <——-
La Collection – Büchi - Pohlhammer - Mifsud / Collectif BPM , mardi 18 et jeudi 20 avril / 20h30 et mercredi 19 avril / 19h
——–> Repas : Salade liégeoise <——-
Pour 13€ par personne, vous réservez votre repas !
Joyeux Festins! Et si on s’offrait un instant d’écriture autour des cinq sens à travers la cuisine? Et si on se mettait toustes à table, pour échanger nos meilleures recettes, nos meilleurs souvenirs?
Avec « Joyeux Festins! » Sidonie Ale propose un nouvel atelier d’écriture, où les sens seront à l’honneur: goûter, sentir, toucher, se remémorer! Décrire les couleurs et partager nos madeleines de Proust! Mettre les petits plats dans les grands, pour prendre plaisir à se retrouver et faire que l’art de la cuisine nous réunisse autour de l’écriture!
En fin d’atelier, le musicien Rémon Jr enregistrera les participant.e.s dévoilant leur meilleur texte et leur recette favorite. De petites créations sonores verront le jour.
La photographe Marie Tercafs réalisera des portraits singuliers des participant.e.s dans leur propre cuisine.
Le 14 octobre, une exposition dévoilera au 140 tout ce qui s’y est mijoté : les textes mis en page par la graphiste Charlotte Lippinois, les portraits et les créations sonores ! Toustes à table pour les Joyeux Festins!
« Le plaisir de la table est de tous les âges, de toutes les conditions, de tous les pays et de tous les jours (…) »
Un projet imaginé et coordonné par Aurélie Alessandroni (aka Sidonie Ale)
Soutenu par le 140
Ecrivain.e.s : Yvon Poncin et Sylvia Veillez, Alice Smets, Aimée Biebuyck et Alison Goffaux, Athéna, Anne-Sophie, Lisa Lejczyk, Marie-Charlotte Siokos, Laetitia Reva, Leïla El-Mahi alias laplumedumaki, Evelyne Vranckx, Marie-Christine Hache, Catherine Aerts, Armenouhi, Anne-France Rihoux, Aïda Boussaa et Jean-Jacques Germaux
Atelier d’écriture : Sidonie Ale
Création sonore : Rémon Jr
Photographie : Marie Tercafs
Graphisme et exposition : Charlotte Lippinois
Soutenu par la Cocof
Un grand merci à toute l’équipe du 140, Eugénie Malevé, Astrid Van Impe, Rachel Goldenberg, Louana Engels, Charlotte Caroux, Manon Wouters, Kilian Walsh.
Merci également à La Cerisaie, Sylvia Veillez, Aimée Biebuyck, Alison Goffaux.
Trois chaises, trois acteur·rices et du talent pour une évocation, sobre et débridée, d’objets d’antan : le vélomoteur, le téléphone à cadran, la K7, le service à asperges, le téléviseur à tube cathodique…
Sans nostalgie, le collectif BPM ressuscite ces témoins éloquents de notre passé. Qu’on les ait connus ou non, ils nous parlent. De tout et surtout de nous. Entre souvenirs personnels et références hollywoodiennes, les histoires se mêlent jusqu’à tisser une savoureuse machine à jouer. Une savante partition pour un tourbillon de rire et d’émotions.
SPECTACLE EN DEUX EPISODES :
LA COLLECTION, épisode 1 les 18 et 20 avril : LA K7, LE VÉLOMOTEUR ET LE TÉLÉPHONE À CADRAN ROTATIF (durée 1h30).
LA COLLECTION, épisode 2 le 19 avril : LE TÉLÉVISEUR À TUBE CATHODIQUE ET LE SERVICE À ASPERGES (durée 1h20).
C’est mine de rien et l’air de ne pas y toucher, un exercice théâtral de haute voltige qui nous est proposé. Un vagabondage élégant sur les possibles de l’imaginaire qui s’en remet au comédien pour qu’existe, en quelques minutes, un état, une situation, un monde (…) Brillant !
Télérama
Savamment écrit et articulé, suscitant la jubilation par son interprétation et sa capacité à produire des images, l’ensemble fait plus qu’offrir un plaisant moment de théâtre
Sceneweb
OBJETS OUBLIES / K7 / HUMOUR
Tarifs
Pay what you can
25€-18€-15€-13€-8€
Article 27 accepté
LA COLLECTION, épisode 1, les 18 et 20 avril : LA K7, LE VÉLOMOTEUR ET LE TÉLÉPHONE À CADRAN ROTATIF (durée 1h30).
LA COLLECTION, épisode 2, le 19 avril : LE TÉLÉVISEUR À TUBE CATHODIQUE ET LE SERVICE À ASPERGES (durée 1h20).
Conception et interprétation : Catherine Büchi, Léa Pohlhammer, Pierre Mifsud Création sonore : Andrès Garcia Costumes : Aline Courvoisier Regard extérieur : François Gremaud Direction technique : Cédric Caradec Régie : Julien Frenois Diffusion : Élisabeth Le Coënt (BPM) Production : Collecif BPM Coproduction : Théâtre Saint-Gervais – Genève, Festival de la Cité – Lausanne Soutiens : Loterie Romande, Fondation Leenaards, une fondation privée genevoise, Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature, Fondation Ernst Göhner, Corodis, République et canton de Genève. Administration de production : Stéphane Frein Crédit-photo: Anouk Schneider
Ce spectacle a fait partie de l’édition 2021 de la Sélection suisse en Avignon.
Comédien·nes en chair et en os et marionnettes à taille humaine, une relecture piquante du mythe de Dracula
En adaptant au théâtre le roman de Bram Stoker dans une version révisée par l’écrivain islandais Valdimar Asmundsson, Yngvild Aspeli et son équipe de créateur.trice.s plongent dans ce sombre et immortel mythe en soulignant sa forte charge érotique. À travers l’interaction étroite des comédien·nes en chair et en os, et des marionnettes à taille humaine, ce spectacle inspiré du cinéma de Guy Maddin explore la nature humaine mais aussi les états limites, entre vie et mort, possession et liberté.
Cette relecture de la légende de Dracula est à la fois très physique et visuelle, peu bavarde et peu sanglante, mais subtile et suggestive. La version de la metteuse en scène norvégienne se veut sous le prisme des femmes et des victimes, redéfinissant une nouvelle perception du vampire.
Du grand théâtre visuel et de marionnettes aussi drôle et déjanté qu’effrayant et jubilatoire.
MARIONNETTES / RELECTURE DE MYTHE / PAROLES AUX VICTIMES
Mise en scène : Yngvild Aspeli Avec : Pascale Blaison, Dominique Cattani, Yejin Choi, Sebastian Moya, Marina Simonova Assistante à la mise en scène : Thylda Bares Composition musique : Ane Marthe Sørlien Holen Fabrication marionnettes : Yngvild Aspeli, Manon Dublanc, Pascale Blaison, Elise Nicod, Sebastien Puech Scénographie : Elisabeth Holager Lund Création Vidéo : David Lejard-Ruffet Costumes : Benjamin Moreau Régie lumière et plateau : Emilie Nguyen Régie son et vidéo : Baptiste Coin Dramaturge : Pauline Thimonnier Directrice de Production et Diffusion : Claire Costa Production : Plexus Polaire Coproduction : Puppentheater Halle (DE), Théâtre Dijon Bourgogne – CDN
Avec le soutien de la DRAC Bourgogne Franche Comté – Ministère de la Culture, la région Bourgogne Franche Comté, Kulturradet (NO), la Nef – Manufactures d’Utopies, Pantin, le CENTQUATRE Paris, le Théâtre des Quartiers d’Ivry – Centre Dramatique National du Val-de-Marne et le Théâtre aux Mains Nues, Paris.
En 2016, nous découvrions au 140 les punkettes-clowns ukrainiennes au 140 avec leur flamboyant Freak Cabaret. Deux semaines après le 24 février 2022, jour d’invasion russe en Ukraine, les Dakh Daughters et leur metteur en scène et Vlad Troitskyi décident de rejoindre la France, là où quelques amis peuvent les accueillir en compagnie de leurs enfants et de leurs mamans. Pères, parents plus éloignés restent, eux, en Ukraine. Du Freak Cabaret, concentré festif, ardent et féroce de femmes qui revendiquaient leur puissance et leur liberté, elles y puisent aujourd’hui une force de résistance, même si la belle énergie du départ s’est déplacée, brisée par la guerre.
Mais leur nécessité de dire le monde est toujours vivante et répond désormais à l’urgence de témoigner de la réalité par l’art.
Aux fronts de guerre il faut opposer le front de l’art. Elles adapteront ce spectacle aux réalités politiques, pratiquement un an après l’invasion russe.
Direction artistique : Vlad Troitskyi Avec : Nataliia Halanevych, Ruslana Khazipova, Solomiia Melnyk, Anna Nkitina, Nataliia Zozul
avec la participation de Tetyana Troistka, comédienne Lumières, mapping vidéo : Mariia Volkova Son : Mickael Kandelman et Bruno Ralle
Les Dakh Daughters remercient ces personnes qui ont mis à leur disposition les images utilisées dans ce spectacle :
Photographes : Maksym Donduyk et Oleksandr Glyadyelov Graphisme : Iryna Korchyuk, Andriy Yermolenko Vidéos : Hromadske.TV, station de télévision internet ukrainienne ; Telegram, réseau social répandu en Ukraine.
Production : Dakh Theatre, DdD
Diffusion en collaboration avec Blue Line Productions
Les Dakh Daughters remercient du soutien à leur pays en guerre et recommandent deux organisations :
En France : https://amc.ukr.fr/ Aide médicale et caritative France-Ukraine, créée en 2014
En Estonie: https://www.prorizne.org/ organisation non gouvernementale pour la cohésion sociétale en Europe, créé en 2002
À partir de textes d’auteur·rices d’ici et d’ailleurs, Rokia Bamba, artiste belgo-malienne et ivoirienne, DJ et activiste, convoque comédien·nes et musicien·nes sur le plateau du 140 qui lui donne carte blanche. Son envie est de nous amener à repenser le mot “Femme” à travers la création et la pensée artistiques. Il sera question de résistances et de solidarités. Cette performance inédite sera construite comme un dialogue entre le son et les mots qui se répondent.
La thématique centrale sera la femme flamboyante dans tout ce qui peut la définir, au présent, au passé et dans le futur. Le rendez-vous sera centré et porté par des questionnements féministes, afro-féministes, LGBT/Queer, écologiques, décoloniaux et post-coloniaux… Les véritables enjeux seraient d’offrir une existence d’alternatives spatiales, d’initier un renouveau humain… rendre visible nos savoir-faire et nos savoir-être.
L’ensemble sera un rendez-vous performatif en immersion totale.
Née dans cette culture dite de l’oralité, Rokia Bamba œuvre à la sauvegarde de cette tradition, source importante pour reconstituer, raconter, les identités culturelles. Ainsi, une exposition sonore sera présentée dans le foyer du théâtre entre janvier et juin.
Un projet de Rokia Bamba et du 140
Ce spectacle est accessible aux personnes malentendes.
Un projet de Rokia Bamba
Comédien·nes : Julie Lombé, Cécilia Kankonda, Farah Youssouf, Marie Paule Mugeni
Musicien·nes : Nicole Letuppe, Sarah Carlier
DJ et créatrice sonore : Rokia Bamba
À travers des poèmes et quelques textes en prose issus de ses différents ouvrages, Cyril Dion, écrivain, réalisateur, figure du mouvement écologiste et co-réalisateur du film « Demain » nous offre une expérience poétique portée par la musique de Sébastien Hoog, guitariste, compositeur et interprète.
« Face à la perspective d’un effondrement écologique, plongé dans le bouillonnement numérique, happé par le tourbillon des informations, confronté à la violence, aux inégalités, nous avons besoin de la poésie, de la beauté, de la musique. »
Après 33 pays visités et plus de 1000 chansons d’amour récoltées, la compagnie Action Hero aura baladé son camping-car à Bruxelles durant cinq jours. Le 1er octobre à La Tour à Plomb et le 2 octobre au 140, quatre heures durant la compagnie animera une émission de radio live où nous pourrons découvrir le volet Bruxelles de ce tour d’Europe.
Entre l’heure de début à la Tour à Plomb et l’heure de fin au 140, soit durant 24h, il sera également possible d’écouter l’intégralité de leur sonothèque sur Facebook.
Sur la scène du 140, nous vous invitons à rejoindre notre « espace d’écoute profonde ».
De et avec : Gemma Paintin & James Stenhouse Dramaturge: David Williams Design sonore : Jo Palmer Administration: Sarah Warden Coproduction : Farnham Maltings, Transform, Matchbox et Farnham Maltings Soutien : British Council, European Cultural Foundation and Watershed’s Pervasive Media Studio
Développé grâce au support de Vooruit, Latitudes Contemporaines, ANTI, Ördögkatlan Festival, Interdisciplinarte, Romanian Association for the Performing Arts, Grand Theatre Groningen and Bristol Old Vic Ferment.
Avec les fonds de Arts Council England.
Trois danseurs·x contemporains·x, Ordinateur, star du coupé-décalé ivoirien, Alex Mugler, vedette new-yorkaise du voguing et Carlos Gabriel Martinez, spécialiste des danses urbaines mexicaines, partagent la scène du 140.
Trio (for the beauty of it), c’est la rencontre de trois artistes.x réunis.x par la metteuse en scène berlinoise Monika Gintersdorfer. Figures incontestées des communautés dont ils.x sont issus.x et danseurs.x exceptionnels.x, Ordinateur, star du coupé-décalé, Alex Mugler, vedette du voguing et Carlos Gabriel Martinez, spécialiste des danses urbaines mexicaines, partagent sur scène leurs arts au-delà de leurs continents et cultures d’origine. Chaque interprète maîtrise l’histoire et les codes de sa danse tout en participant à son expansion transnationale et son évolution, fruit d’influences nouvelles. Alors que ces styles pourraient s’opposer, se confronter, ici ils s’échangent et s’hybrident avec talent. Les limites entre les continents, les disciplines artistiques et les genres s’effacent pour se mélanger.
Pour autant, nul idéalisme : ce qui rapproche est aussi ce qui sépare, et le dialogue entre des cultures aux contextes fort différents n’a rien de spontané. Ce spectacle prône les différences et spécificités des trois styles mais aussi leurs points communs. Véritables outils d’expression, de communication et d’affirmation identitaire, ces danses sont toutes issues de mouvements contestataires.
La rencontre de Trio entend résister à toutes les tentations d’isolationnisme, en lui opposant l’inventivité́ et le partage. Tel un explorateur, le spectateur voyage entre ces différents mondes qui se découvrent et s’apprivoisent, s’unissant au fil du spectacle. Une performance à l’énergie généreuse et communicative portée par la mixité des musiques et des danses.
Lié au spectacle :
Workshop de danse « Coupé-décalé » avec Ordinateur.
Samedi 22 octobre 14h-16h – Tous niveaux – Gratuit – Au 140
Conception : La fleur, Monika Gintersdorfer, Carlos Martinez, Alex Mugler, Ordinateur Avec : Carlos Martinez, Alex Mugler, Ordinateur et Timor Litzenberger Musique : Timor Litzenberger Costumes : Bobwear et Arturo Lugo Production : La Fleur Coproduction : Théâtre Vidy-Lausanne, Zürcher Theaterspektakel, Pumpenhaus Münster, Kampnagel Hamburg Avec le soutien de : NPN Nationales, Performance Netz
Eva Doumbia nous invite à réfléchir à ce qui se trouve dans nos assiettes. Elle mène cette réflexion sous le prisme de la décolonisation et des dominations.
Vidéo, théâtre, musique seront au rendez-vous avant de déguster ensemble, un mafé.
« Dans les années 1980, mon père, Amadou Doumbia, a ouvert le premier restaurant africain du Havre, où il vivait. Il proposait du mafé. Nous en mangions rarement dans la maison qui était tenue par ma mère, une institutrice normande. Chez nous, les repas africains étaient servis lors de visites d’amis ivoiriens. Je me souviens encore de plats posés au centre où tout le monde plongeait ses mains. Sauf nous, enfants français qui mangions avec des cuillères. J’ai longtemps pensé que ce plat à base de poulet et de pâte d’arachide était un plat traditionnel d’Afrique de l’Ouest. Mais en fait pas du tout. Ce plat national malien n’est consommé que depuis le XVIIIème siècle, probablement arrivé avec les habitudes culinaires des colons européens. Je me suis alors demandé d’où provenait la plupart des aliments que nous consommions aujourd’hui en Afrique : banane, riz, chocolat, ananas, mangue… J’ai réalisé qu’aucun d’entre eux ne poussait sous le Sahara. Ce ne sont pas des cultures endogènes. »
Textes : Armand Gauz et Eva Doumbia Mise en scène : Eva Doumbia Avec : Alexandre Bella Ola, Bamoussa Diomande, Eva Doumbia, Olga Mouak,
Angelica-Kiyomi Tisseyre
Et la la participation de Fargass Assandé Assistanat à la mise en scène et dramaturgie : Karima El Kharraze Musique originale et chants : Lionel Elian Cuisine : Alexandre Bella Ola (le Bistrot Afropéen) Chorégraphie : Massidi Adiatou Costumes et univers visuel : Sylvain Wavrant Création lumières : Stéphane Babi Aubert Régie Générale : Loïc Jouanjan Vidéo : Sandrine Reisdorffer Images : Charles Ouitin et Lionel Elian Son :Cédric Moglia Collaboration artistique : Fabien Aïssa Busetta Production : La Part du Pauvre/Nana Triban Coproduction : Théâtre du Nord, CDN Lille-Tourcoing-Hauts de France, Théâtre du Point du jour (Lyon) Avec le soutien de Drac Normandie, ville d’Elbeuf, les Grandes Tables (Friche la Belle de Mai – Marseille) – Fonds d’Insertion pour Jeunes Artistes Dramatiques, Consulat de France à la Nouvelle Orléans, LSU (département Francophonie à Bâton Rouge, États-Unis), Ambassade de France aux États-Unis, Commission Internationale du Théâtre Francophone, FACE fondation, Théâtre de la Joliette (Marseille) Avec l’aide de Anis Gras-Le Lieu de l’autre (Arcueil), Fundamental Monodrama Festival (Luxembourg), Kumaso (Bamako), N’Soleh (Abidjan), Centre Social de la Savine (Marseille), Ateliers Médicis (Clichy-Montfermeil), Beauport-Guadeloupe, la Chapelle du Verbe incarné (Avignon) et l’Entrepôt (Paris)
Véritable mosaïque multiculturelle, Bruxelles abrite une riche diversité de personnes et avec elles, de vies, d’expériences et d’histoires. Qu’elles soient tristes ou joyeuses, belles ou tragiques, vraies ou imaginaires, les histoires se façonnent par les rencontres et les expériences quotidiennes. Brussels City of Stories croit en le pouvoir des histoires, à leur capacité de connecter entre eux les lieux et les gens quels que soient les milieux, âges, langues et cultures.
Initié par MuntPunt, Passa Porta, La foire du Livre et Le 140, Brussels City of Stories est né d’une envie commune de ré-enchanter l’espace public de manière poétique et sociale et d’y
encourager le vivre ensemble. Estampillé City of Stories depuis déjà deux éditions, le projet se veut inclusif, multilingue et accessible aux publics francophone, néerlandophone et international. Ajustant les thématiques au fil des années, Brussels City of Stories vise à rassembler et partager des valeurs et des oeuvres de citoyen·ne·s et d’associations actives dans le milieu socioculturel afin de démocratiser la culture et valoriser la richesse culturelle de Bruxelles. Dans le cadre de l’édition 2022, Le140 a organisé des ateliers d’écriture avec l’écrivaine Isabelle Wéry en partenariat avec le CPAS de Schaerbeek. D’autres associations telles que La Maison des Femmes de Schaerbeek, la Bibliothèque Sésame, La Piola Libri et l’asbl Lire et écrire ont participé à la récolte d’histoires.
Pendant le mois de mars, Schaerbeek va vivre au rythme de la deuxième édition du S.A.M.E. Festival! Ces deux Semaines d’Actions et de Mobilisations pour l’Egalité (S.A.M.E.) visent à établir un rendez-vous annuel sur le territoire schaerbeekois. Celui-ci mettra en avant les actions de terrain luttant contre les discriminations autour de quatre grands axes : celles basées sur le genre, le racisme et la xénophobie, l’homophobie et la transphobie, ainsi que sur un handicap.
Réservation obligatoire via , merci de vous présenter au moins 30 minutes avant le début de la rencontre.
La 6e Nuit des Écrivains : les inscriptions sont ouvertes !
Se laisser guider – ou égarer – dans la nuit par les voix de six écrivain·e·s ?
C’est à cette expérience singulière que vous convient à nouveau Myriam Leroy et Pascal Claude lors de la 6e édition de La Nuit des Écrivains, le jeudi 10 novembre 2022 dès 21h. Les inscriptions sont ouvertes !Pendant quatre heures, six écrivain·e·s invité·e·s échangent et s’interpellent en public au 140 à Bruxelles et en direct sur La Première, avec la précieuse collaboration de Passa Porta :
L’épatante Clara Ysé, jeune romancière, mais aussi chanteuse. Son premier livre, Mise à feu, est paru l’an dernier chez Grasset. Un roman d’initiation et d’aventure, magique et cruel. Deux ans plus tôt, elle a sorti son premier disque, Le Monde s’est dédoublé, qui a été nominé par l’Académie Charles-Cros.
David Van Reybrouck, archéologue et philosophe de formation, historien de la culture à la KUL, se lance dans une carrière d’écrivain en 2007 avec son premier roman, Slagschaduw. Il est notamment récompensé par le Prix Médicis en 2010 pour Congo. Une histoire. En 2013, il propose une démocratie par tirage au sort dans Contre les élections. En cette rentrée, il publie Revolusi (Actes Sud), une étude historique consacrée à l’Indonésie.
L’écrivaine et journaliste Laure Adler qui clame : « je suis vieille et je vous emmerde ! ». Son dernier livre, La voyageuse de nuit (Grasset), est une enquête sur la vieillesse. Profondément engagée pour la cause des femmes, elle a consacré des ouvrages à plusieurs femmes brillantes et puissantes, dont Marguerite Duras, Hannah Arendt et Simone Veil.
Diplômée en journalisme et communication de l’ULB, la montoise Ariane Le Fort se démarque en 2003 avec la parution de Beau-fils, qui reçoit le Prix Victor-Rossel. Le sentiment amoureux fait vibrer le cœur de ses différents romans. Son dernier ouvrage, Quand les gens dorment, est sorti en mars 2022 (OnLit).
Patrick Chamoiseau qui estime que la littérature est une « énigme indépassable ». Il a reçu le Goncourt en 1992 pour son roman Texaco (Gallimard), où il dépeint la vie de Martiniquais sur trois générations. Théoricien de la créolité, il a participé à la création du Manifeste de la créolité. C’est une voix qui compte en francophonie et à l’échelle mondiale
.Et Emmanuelle Bayamack-Tam pour qui le roman est un genre transgenre ! Elle a obtenu le Prix du Livre Inter en 2019 pour Arcadie, un roman dans lequel souffle un vent libertaire et libertin.. Elle vient de publier La Treizième heure (P.O.L.). Elle écrit également sous le pseudonyme de Rebecca Lighieri, dont le roman Il est des Hommes qui se perdront toujours.«
Ces auteur·ice·s nous aident à mettre des mots sur les grands sujets qui font battre le cœur de notre époque et de nos vies.
La Nuit des écrivains, le jeudi 10 novembre de 21h à 1h du matin, en direct sur La Première et au 140 à Bruxelles, avec Passa Porta.
Après une mémorable première soirée en septembre 2022, Le Monde est un Village propose la seconde édition de Trésors Vivants. Ce concert pas comme les autres mettra à l’honneur des collaborations inédites entre des artistes confirmés et de jeunes talents prometteurs qui vivent et s’expriment en Belgique. Rejoignez-nous le vendredi 28 avril au Théâtre Le 140 à Bruxelles dès 20h !
« Forte de son succès et de son intérêt lors de la première édition de Trésors Vivants en septembre dernier, l’émission Le Monde est un Village propose un nouveau développement musical et original en cette fin avril. Trésors Vivants, c’est la rencontre entre des Musiciens porteurs de Tradition, Culture et Patrimoine et des Artistes de la nouvelle génération. Nous éclairerons le riche parcours, l’intense talent des uns et la gourmandise, la curiosité, la disponibilité artistique des autres. Cette soirée-concert unique et insolite sera une promesse de rencontres, de connivences, d’amitié et de passion. Un double coup de projecteur sur des individus ou des collectifs qui gagnent à être revus et de nouvelles pépites qui méritent d’être exposées. Bienvenue ! »
Partenaires : RTBF La Première et Le 140 Avec l’indispensable collaboration de la Fédération des Jeunesses Musicales de la Fédération Wallonie-Bruxelles, du 140 et de Canopea
Avec : Aurelie Dorzee – Luc Pilartz – Didier Laloy – Rachel Keyaerts – Nils Laloy – Mousta Largo – Jamal Moussaid – Sølstice – Quentin Dujardin – Kristo – Emanuela Lodato – Vincent Noiret – Juliette Ferreira – Jonathan De Neck – jofroi – Marie Mawet – Laïla Amezian – Quatuor Satellite Cléo Dehan – Margot Gillet – Coline Meulemans – Marc Martín Nogueroles – Quatuor Mp4 – Osvaldo Hernandéz-Napoles – Patricia Van Cauwenberge – Babela Navarro – Sophie Cavez – Baltazar Montanaro – Mathilde Dedeurwaerdere – Abid Bahri – Mohamed-Amine El Korchi – Sabra El Bahri Khatri – Ahmed Khaili – Marc Lelangue – Jonathan Collin-Bouhon – Gaspar Baré
Durée de la résidence : 5 jours, du lundi au vendredi en journée.
Accessible à tou.te.s (principalement schaerbeekois.e.s) / Gratuit
Citoyen.ne.s, amateur.rice.s ou passionné.e.s de culture et de création, devenez hôte !
Dans votre maison, un espace inédit (une salle de jeux, une cage d’escalier, un grenier aménagé, une bibliothèque, une cabane, une serre ou une maison arrière, etc. ) attend un.e artiste prêt à s’en inspirer pour créer. Nous vous proposons de l’accueillir chez vous pendant cinq jours. L’occasion de faire des rencontres et de rendre service à un.e chorégraphe désireux.se de travailler dans un lieu de vie, plus inspirant que le studio ou le théâtre.
La résidence artistique chez l’habitant.e réfléchit aux conditions de l’émergence des idées artistiques en favorisant le vivant et la rencontre à la source de toute recherche scénique. » Sabina, créatrice du projet
L’objectif de ce projet est de créer des liens, du dialogue et de l’entraide. En accueillant l’artiste, vous deviendrez acteur.rice du projet en cours de création chez vous. L’aménagement de votre espace de vie, un objet, une conversation, une odeur,… seront susceptibles de nourrir l’imagination de votre invité.e.
Sortie de résidence
Afin de partager l’expérience avec vos proches et d’alimenter le processus de création, l’artiste présentera une étape de son travail à vos ami.e.s, voisin.e.s et famille à la fin de son séjour chez vous.
Envie de tenter cette expérience ?
Pas besoin de beaucoup d’espace ni de matériel technique pour accueillir un.e artiste. Votre espace doit être accessible pendant 5 jours, du lundi au vendredi, en journée.
>>> Ouvert à tou.te.s. L’accueil n’est pas rémunéré. Avant la résidence, nous vous transmettons une présentation de l’artiste/la compagnie ainsi que du projet en cours de création que vous accueillerez.
At home / Création en cours / Accueil / Résidence de création et d’expérimentation
Les artistes/ les compagnies : à venir Hôte : vous Photographe : Merel Claes – « Creatures at rest » par Alice Van Der Wielen-Honinck Graphisme : Aleksandra Czępińsk
Depuis cinq ans, nous vous faisons découvrir trois instantanés dansés. Cette année, Le 140 et Grand Studio s’associent !
Artistes 2022 :
Solal Mariotte
Benoît Nieto Duran
Maxime Cozic
Le principe reste identique, la pièce ne peut excéder vingt minutes, les accessoires et décors ne sont permis que s’ils entrent dans une valise et le spectacle ne peut faire recours à plus de trois intervenants.
Quelques mots sur les performeur.euse.s
Benoît Nieto Duran
Danseur / Performer / Chorégraphe
Né à Liège, Belgique en 1990 et est actuellement établi à Liège.
Intègre en 2006 le Groupe « OPB » avec lequel il représente la Belgique à travers le monde pour des compétitions ( Battle ). Après avoir remporté de nombreux titres en groupe et en solo, tel que l’Award du « Meilleur Breakdancer de l’année 2011 » , il décide de se tourner vers la création pour plus de liberté en terme de mouvements.
Benoît a travaillé avec de nombreux artistes et compagnies professionnelles à savoir ; Cie Okus Lab, Opera Royal de Wallonie, Luc Petit création, Franco Dragon, Cie Victor B, HipOrgue, Didier Bouillon et actuellement pour Koen Depreter dans « Tender Men » : pièce contemporaine pour quatre interprètes internationaux ainsi que pour Julien Carlier « Dress Code » pièce pour six danseurs en Bboying.
Formé en break Dance dés son plus jeune âge, il s’intéresse très vite à la danse contemporaine qui l’amène à développer un langage personnel et atypique, nourri par sa connaissance des différents techniques de danse. Il a notamment développé une bonne mémoire chorégraphique et une grande faculté d’improvisation.
Il aime jongler avec les énergies et les dynamiques et à une affinité particulière pour la précision du mouvement et la musicalité.
La pièce / Protéiforme
Est-ce le bon choix ? Ce mouvement est il le bon ? Qu’est ce qui est beau ? Qu’est ce qui est laid ? Et si la laideur n’était pas l’envers de la beauté, mais une catégorie de la beauté ? Est-ce que le beau est une finalité dans l’Art ?
Protéiforme à pour ambition de faire remarquer que l’expression de la laideur est d’avantage liée à l’individualité, tandis que la beauté serait par essence même la quête d’un idéal… Presque Inhumain.
J’ai l’intention de m’intéresser à la laideur sous différents aspects pour mieux comprendre et vivre une expérience esthétique dansée.
Je compte déconstruire la gestuelle du break-dance extrêmement codifiée. Le mouvement brut comme point de départ pour créer un langage chorégraphique unique. La quête d’un idéal.
Benoît Nieto Duran
Solal Mariotte
Solal Mariotte (né en France en 2001) découvre la danse par le biais du Hip-Hop.
Il étudie au Conservatoire d’Annecy puis poursuit sa formation à P.A.R.T.S, il en sort diplômé en juin 2022.
Il danse dans la pièce « Any attempt will end in crushed bodies and shattered bones » de Jan Martens avant de rejoindre en 2023 la compagnie Rosas de Anne Teresa De Keersmaeker.
Solal est un jeune chorégraphe. Le jeu, l’improvisation, l’échange pluridisciplinaire et une expression plurielle de soi sont des dimensions qu’il souhaite continuer à explorer aujourd’hui. Il aimerait s’ouvrir à un autre rapport au temps, à un imaginaire plus large, à la poésie.
Maxime Cozic
» Emprise, c’est le thème choisi par Maxime Cozic pour son premier solo. Datant de 2020, la création joue sur un rapport au corps contenu, exigu, empêtré dans des danses au sol empêchant le corps de se déployer. Un travail de maîtrise colossal, marqué par la souplesse du chorégraphe. Emprise ou la danse d’un corps en surtension.
Quand Maxime Cozic arrive sur scène, dans un univers gris, noir et bleu foncé, on se demande à quoi s’attendre. L’artiste semble bloqué dans un espace lumineux en carré. La lumière ne lui fait pas le cadeau de l’éclairer. Statique, il est dans l’ombre. Pour être mieux vu, il doit relever la tête. Et puis, ça commence. À partir de là, le danseur expose la couleur : la chorégraphie sera celle d’une lutte. Sa gestuelle si saccadée peut tendre à dessiner les démons qui composent l’Emprise. On est impressionné par l’extrême souplesse de Maxime Cozic, qu’il met au service de mouvements raides et secs.
Emprise est une danse en tension, en torsion, où poignets et coudes se tordent. Le spectacle est présenté comme une exploration « des gestes qui échappent d’abord au contrôle, qui pourraient trahir par exemple un complexe, et qu’il s’agit tout autant de contenir, de ramener dans la maîtrise d’une modulation des tensions » (dossier de presse). En effet, il est clair que le corps n’a pas d’échappatoire, qu’il est surcontrôlé dans un espace où rien ne doit dépasser. L’espace en carré qui ouvrait le spectacle annonce l’idée de limites. Le danseur est en maîtrise permanente de ses gestes, dont il refoule les libertés. Il y a une impression constante de délimitation. Ainsi, même si la chorégraphie se déploie au cours du spectacle sur toute la scène, ce carré central marque souvent un point d’ancrage vers lequel le danseur revient.
Seul en scène, Maxime Cozic prend toute notre attention et nous entraîne dans ce qu’il raconte.Un univers hip hop qui fonctionneParfois, le danseur ressemble à un objet articulé, comme un robot dans une boîte. Dans Emprise, Maxime Cozy explore les gestes d’un corps à l’aspect mécanique voire électronique grâce à certaines tonalités digitales.
La chorégraphie fonctionne avec l’univers musical hip hop et moderne créé par Jimmy Febvay. Cet accompagnement apporte un rythme soutenu à un spectacle sans mouvements lents.
Du hip hop, l’artiste reprend de nombreux mouvements au sol, qui semblent davantage canaliser le corps dans l’espace. Parallèlement à cette musique, le souffle du chorégraphe est perceptible et accentue un sentiment de dureté imposée. La fatigue de la lutte corporelle comme de la fatigue émotionnelle. «
Un tromboniste, arrangeur, compositeur, et plus encore. Une chanteuse, comédienne, et voilà! Des chansons, des musiques et des histoires à raconter. Ils nous proposent de vivre un siècle de tubes en tous genres !
Le temps file en musique et voilà que l’on se découvre des madeleines de Proust intemporelles et presque universelles.
Des chansons. À la carte, en souplesse et en finesse. Un sourire par-ci, des “shake ton body” par-là : de la musique en veux-tu ? En Voilà !
Une chorégraphie à six danseur·euses qui se déroule au sein du public, assis, debout. La danse parmi nous, comme un motif qui, se répétant, évolue et glisse en nous frôlant. Une expérience immersive dans un geste chorégraphique qui va se construisant, minimaliste, joyeux et bienveillant.
Inspiré par la diversité des comportements collectifs que l’on retrouve à profusion dans le vivant, A Very Eye est une pièce qui nous invite à changer de perspectives et à éclairer les interstices.
Le public et les six danseur·euses se croisent, se mélangent et se confondent, pour tracer ensemble les lignes mouvantes d’un territoire à habiter.
concept et chorégraphie: Angela Rabaglio et Micaël Florentz / création et interprétation: Tsharly Prince, (Sergi Parés), Jeanne Colin, Mona Felah, Christine Daigle, Angela Rabaglio, Micaël Florentz / création lumière et scénographie: Arnaud Gerniers / création sonore: Anne Lepère / regards extérieurs: Melissa Rondeau, Esse Vanderbruggen, Christine Daigle / costumes: Mélanie Duchanoy / recherche: TingAn Ying (danse), Olivier Hespel (dramaturgie) / stage: Dounia Dolbec, Nathan Bourdon / administration: Camille Collard / diffusion et communication: Quentin Legrand (Rue Branly)
production: Tumbleweed asbl coproduction: Charleroi Danse – Centre
chorégraphique de Wallonie-Bruxelles (BE) / Les Brigittines – Playhouse for Movement Bruxelles (BE) / CCN2 – Centre Chorégraphique National de Grenoble (FR) / CCNT – Centre Chorégraphique National de Tours (FR) / POLE-SUD – Centre de Développement Chorégraphique National Strasbourg (FR) / Cultuurcentrum Brugge (BE)
partenaires de résidence: Dansateliers Rotterdam (NL) / Grand Studio (BE) / Summerstudios Parts (BE) / Garage29 (B), Tanzhaus Zuerich (CH), Choreographisches Centrum Heidelberg (DE), Le Gymnase – Centre de développement chorégraphique national Roubaix (FR), Kanal workroom (BE), de Warande (BE), TROIS C-L (LU), Materiais Diversos (PT), Estúdios Victor Córdon (PT), l’Abri Genève (CH), Onassis Stegi (GR)
soutien: Fédération Wallonie-Bruxelles, Wallonie- Bruxelles Internationale, Dansateliers Rotterdam (NL), avec le soutien du Grand Studio et Réseau Grand Luxe 2021/22
Déméter est désespérée par la disparition de sa fille Perséphone, enlevée par Hadès, dieu des enfers. Au cours de ses recherches, elle est accueillie par Baubo, personnage burlesque et truculent: Baubo entame une danse comique qu’elle ponctue en dévoilant son sexe, si bien que Déméter est toute réconfortée.
Grâce à sa mère, qui a repris courage et intervient auprès de Zeus, son père, Perséphone recouvre la liberté, mais sous condition. Elle passera quatre mois sous terre avec Hadès, huit mois sur terre avec sa mère. Par cette existence alternée, Perséphone installe le rythme des saisons sur la terre cultivée par les humain·es. Quand Déméter est heureuse avec sa fille, la nature est vivante et fleurie. Quand Perséphone retourne chez Hadès, le désespoir de Déméter engendre l’hiver.
Ce mythe nous inspire le récit du spectacle. Dans un futur peut- être extrêmement proche, la terre sera épuisée. Mais une vieille femme communique avec notre planète. Elle est comme une intermédiaire qui pourrait nous aider à trouver un chemin et surmonter nos difficultés.
marionnette
Marionnette
10’ de spectacle par groupes de 10 personnes
16+
Tarifs
Gratuit.
Réservation sur place.
Une Tribu Collectif nous donne à voir une courte étape de travail de son futur spectacle.
création: Une Tribu Collectif / conception et écriture: Noémie Vincart et Michel Villée / interprétation: Michel Villée et Noémie Vincart / construction de la marionnette: Natacha Belova. Merci à la Compagnie Point Zéro pour le prêt de la marionnette / lumière: Caspar Langhoff / scénographie: Noémie Vincart, Caspar Langhoff et Michel Villée / composition musicale: Alice Hebborn / regard extérieur: Julie Antoine
production: Une Tribu Collectif / suivi de production: Christine Cloarec – Quai 41 / soutien: Fédération Wallonie-Bruxelles – service du Théâtre / le 140.
Breudd est un duo électronique belgo-suisse. Obsédés par les atmosphères cinématographiques fortes, ils pratiquent un style musical composé de beats implacables et hypnotiques, d’arpèges à la volée et de mélodies entêtantes qui collent bien longtemps après l’aube.
Demandez-leur comment la musique doit être écoutée, et ils vous diront: de nuit, les yeux fermés, en tapant du pied. Demandez- leur comment la musique doit être faite, et ils vous diront que c’est une bataille d’esprits, en frères bagarreurs. Si Mr Flash et Sébastien Tellier avaient eu un enfant, ce serait Breudd.
musiciens: Maxime Schwarz, Rodolphe Aeberhard / chanteur.euse: Charlotte Wacker, Satchel Hart / scénographie: Louise Gouwy Bacquet / création lumière: Lucas Trovato / ingénieur son: Igor Van de Putte
aides et soutien: Îles ASBL / Les Ateliers du Fort
Du pop-rock, pour les enfants dès 6 ans ?! Iels en redemandent !
Lio, Brice, Dan et César (membres de Girls in Hawaii, Hallo Kosmo et Italian Boyfriend) s’amusent à explorer leur constellation musicale, des Beatles à The Strokes, en passant par Air ou encore Françoise Hardy, sans oublier quelques-unes de leurs compositions personnelles. Il n’est jamais trop tôt pour se déhancher sur un bon vieux Clash, jamais trop tard pour replonger dans les Beatles. Et entre les deux, s’offrir les Strokes, Françoise Hardy ou Air.
Comète, c’est la formation de musiciens pop rock habitués des grandes scènes, venue pour partager avec les plus petits leur galaxie personnelle. Compos et reprises se mêlent pour se prendre du bon son dans les oreilles, chanter, danser, et vivre un vrai concert rock !
Francofaune vient faire vibrer les murs du 140 ! Le temps d’une soirée, avec 4 performances, nous allons célébrer la scène francophone, électronique et cabaret. L’occasion de taper du pied et de découvrir de nouvelles « espèces musicales en voie d’apparition ».
Musique électronique / Scène francophone / Cabaret
Sorcière du folklore, actrice de telenovelas, déesse sud-américaine, chanteuse populaire brésilienne… ce ne sont que quelques-unes des casquettes de cette étrange créature qu’est Vakah Profana. L’écouter c’est se retrouver une chaude nuit sur une plage à Rio. Après avoir pris de l’ayahuasca.
ZEDIE
Originaire de Bruxelles, Zedie est un artiste queer belgo-nigérian dont le style musical fusionne entre variété française, électro et pop pour créer un univers dansant, sensible et unique. Dans ses textes, il interroge l’identité, raconte la mélancolie, l’amour et le deuil d’une voix cristalline faisant chavirer les âmes tendres.
CUISSE
Cuisse est un duo français créé par Initials et Barkën en 2021. Leur univers esthétique et musical singulier oscille entre furie et mélancolie. Cuisse cultive l’étrange.
PEGGY LEE COOPER
Si elle n’avait pas autant abusé de la vodka et des cigares, elle chanterait peut- être comme Céline Dion, mais ce n’est pas le cas. Á côté d’elle, Darth Vader est une pub pour Ricola. Une soprano légère. Peggy Lee Cooper est l’image de sa voix: grave, graveleuse, ronronnante ou hurlante et rarement à sa place.
Spectacle solo de cirque contemporain Delusional “I killed a man” est un spectacle sur la transition et la transformation. La jeune artiste et activiste trans Diana Salles partage ici le parcours d’une renaissance à soi, dans la peau de Judith, la protagoniste du célèbre tableau de Caravage Judith décapitant Holopherne.
Ivo Dimchev
Chorégraphe, danseur, plasticien, performeur, musicien, comédien, poète, auteur : Ivo Dimchev, c’est l’artiste pluriel. Il donne à vivre des œuvres déroutantes, furieuses. Dimchev est un personnage – cabaret : strass et paillettes, rouge à lèvres vif sur un visage poudré de blanc, habillement fantasque, tatouages et piercing innombrables, il régale de tous les excès, usant de son puissant charisme androgyne.
Ses performances chantées sur des textes intimes, engagés, mélancoliques parfois, conjuguent l’opératique, le rock.
cirquemusique
Fin de la soirée 22h30
Contenu sensible.
Tarifs
25/30/40€ - hors pass
2 spectacles+repas+soft
Contenu sensible lié au suicide et sensibilité aux lumières stroboscopiques.
Delusional I killed a man
auteures: Diana Salles & Firenza Guidi /interprète: Diana Salles / mise en scène: Firenza Guidi
Un spectacle soutenu par Zirkus ON Creative Alliance et le Goethe Institute. Zirkus ON est financé par le commissaire à la culture et aux médias du gouvernement fédéral allemand dans le cadre du programme Promoting Connections de l’Association fédérale des arts du spectacle indépendants (BFDK)
LLouise est une forme scénique qui conjugue marionnettes, manipulations, danse, mouvements, et arts numériques. Le spectacle trouve son inspiration dans la vie et l’œuvre de l’artiste franco-américaine Louise Bourgeois. Sur scène des objets font référence à certaines œuvres de l’artiste: s’engage alors un voyage sensible et singulier.
La danseuse, au contact des objets, questionne l’empreinte de l’enfance, la filiation, le rôle de la mère, de la femme, de l’artiste.
Une araignée géante motorisée se met peu à peu en vie sur la scène jusqu’à l’affrontement et la rencontre: oser toucher, repousser, caresser l’animal, comme pour dépasser les limites de ses peurs, de ses colères, de ses propres expériences, jusqu’à la réconciliation et l’apaisement. L’araignée a été un thème important du travail de Louise Bourgeois dans les années 90, plus particulièrement dans la réalisation d’une araignée géante, Maman, qu’elle concevait comme une ode à sa mère – l’arachnide étant perçu comme bénéfique, protecteur.
conception écriture et mise en scène: Françoise Flabat / danseuse: Coralie Meinguet – Camille Mariage (Phase 1 de création) / éclairage – vidéos – scénographie – motorisation: Nicolas – Adrien Houtteman / marionnette nue: Christine Corman / marionnette araignée: Françoise Flabat / marionnette Louise: Matt Jackson / soutien technique: Fred Berthe / photo: Thomas Bohl / teaser: Nicolas-Adrien Houtteman
production: Créa-Théâtre
soutien: Centre de la Marionnette de la Fédération Wallonie Bruxelles, de la Fabrique de Théâtre – Service des arts de la scène de la Province de Hainaut / Théâtre des Doms, le Jardin Parallèle / Maison de la culture de Tournai / Bourse à l’écriture de la SACD.
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